Les fleurs m'évoquent la mort.
Je les imagine en collier
Un peu fou, mais soigné,
Autour d'un admirable corps.
La main sur le coeur,
Eternelle torpeur,
Par les vives couleurs
Est accentuée sa pâleur.
Deux fois confrontée à la mort,
Est-ce suffisant alors
Pour en décrire la beauté,
Douloureuse mais apaisée ?
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Poème sans le comptage des vers
Commencé le 28 avril, terminé le 2 mai 2020
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Au gré des émotions
PoesíaBonjour marin d'eau douce wattpadienne ! Aujourd'hui la houle est agitée, il est difficile de jeter l'ancre. Pas de panique, si tu t'ennuie ou si tu ne sais pas quoi lire, écume mon recueil de poème aussi imprévisible que la mer ! (Le thème de mon r...
