❝ 𝐐𝐔𝐄𝐋 𝐀𝐌𝐎𝐔𝐑 𝐒𝐄𝐑𝐀-𝐓-𝐈𝐋 𝐕𝐎𝐓𝐑𝐄 ? ❞
↬ One-Shot, Boyfriend scénario, Headcanon & Alphabet
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Tout est réalisable, il ne faut que laisser vos envies s'évader. Que ce soit de caresser les oreilles de Gorou...
TIGGER & WARNING | Alcool▸A consommer avec modération
NOTE |Bonsoir à toutes et à tous. J'espère avoir fait une réponse satisfaisante à ta demande, mon imagination est partie un peu loin, je l'admet. Mais que faire face à cet enfant naïf, innocent et protecteur, il mérite tant d'amour et t'affection. Je vous souhaite une : ❝ Bonne Lecture ❞! ❤️
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Il était tard, le soleil avait décliné depuis des heures dans le ciel, laissant place à la noirceur profonde de la nuit. Un air frais soufflait sur la capitale d'Inazuma, tandis que ton dernier client venait tout juste de quitter ta petite boutique de vins traditionnellement originaire de Mondstadt. La soirée te semblait plus calme qu'habituellement, peut-être que minuit passé aidait grandement à ce que presque plus personne n'ose mettre un pied dehors. Fredonnant un champ typique de chez toi, un balai à la main, ta silhouette dansant dans le commerce, tu finissais de nettoyer les derniers articles en désordre. D'humeur légère, pour ne pas dire de très bonne humeur, rien ne serait entacher cette journée sans aucun problème de la journée. Puis, l'horizon de pouvoir te blottir dans les bras toniques d'un oni rouge en rentrant chez toi, était plus d'alléchante. Les bouteilles remisent à leur place, le travail terminé en moins de dix minutes, te voilà libre comme l'air. Une main clissa vers ta queue-de-cheval (C/C) pour en libérer tes cheveux, tes mains se posant sur tes hanches, complètement satisfaite de ton dur labeur.
─ « Voilà une bonne chose de faite. ~ » Chantonnas-tu.
Tes billes (C/Y) à la recherche de ton trousseau de clefs, un manteau déjà sur le dos, tu étais fin prêtes à rentrer à la maison. Le grand rideau baissé et fermé à clef, le magasin en sécurité, tu pouvais enfin partir vers tes jours de congé qui t'attendaient depuis longtemps. Une semaine bien menée. Pourtant, avant que tu ne puisses faire un pas de plus, devant toi se tenait celle qui n'aurait sûrement jamais voulu te déranger, mais qui était obligé en cette soirée. Elle n'avait nullement besoin de dire un mot, les bras croisés sur sa poitrine, l'air dépitée au possible, elle t'attendait bien sagement.
