- LE SECRET DE L'ARMILLAIRE -

OBSERVÉE .

LE LENDEMAIN MATIN .

Neuf heure trente son télé portable sonne au fond de sa pochette .

D'abord un verre d'eau , la belle éveillée saisit sa pochette en s'assaillant à la petite table de la chambre . « Message qu'elle surprise , voyons voir ça :

                         -Briefing quinze heures au même endroit que notre premier rendez-vous.-

- Ok ! Pas de trêve pour les braves . Une carte sur la table ? Étrange ... on dirait que c'est celle qui m'a piqué les fesses hier soir . Que me veut cette petite coquine ? De quoi s'agit-il :

                    -Je vous en supplie , laisser moi une chance de tout vous expliquer.
             Demain douze heures sur la plage en face de l'art café. Je vous y attendrais.-
                                                                              Charlie .

La jeune femme pressa la carte contre son cœur . Quoi , douze heures ? Et je n'ai rien à me mettre . Il faut encore que je récupère mes affaires à l'hôtel même si ce n'ai pas très prudent , je n'ai pas le choix . Vite une douche , je remets les vêtements de la veille tant pis  ! Ma culotte pas très fraîche, je m'en passerais pour cette fois . Vite ma voiture . Je pars en catastrophe du casino on verra plus tard pour les salutations.

Une décharge électrique à la voiture et c'est parti . Quoi encore un message sur le pare-brise :

                                                                RAPPEL DU RENDEZ-VOUS.
                           DES ARMES SONT À VOTRE DISPOSITION SOUS LE TAPIS DU COFFRE .

Sur le pare-brise apparue le scanner de ce qui ce trouver à l'arrière du véhicule ainsi que l'inventaire des armes : deux pistolets mitrailleur , un pistolet neuf millimètre, un câble de billon d'étranglement , un tisseur , un paire de jumelle infrarouge , deux couteaux de lancer , une montre GPS et un micro téléphone liaison satellite pouvant capter jusqu'à cent vingt mètres de profondeur.

- Milla : tout cet attirail et pas de sous vêtements propres à quoi pensent-ils ?

Elle alluma la radio GOSSIP BETH DITTO ! WOTE THE BOOK . passant devant le petit hôtel d'Estoril . Le réceptionniste accompagné de deux policiers la désigna . Elle arrêta la mini et coupa la radio .

- Le réceptionniste : Mademoiselle ! Mademoiselle. La police veut vous parlez .
- De quoi s'agit-il messieurs ?
«  les deux policiers émoustillés d'avoir affaire à une si jolie femme ce grattaient la tête et chercher leurs mots .
- Voila mademoiselle Strong un incident a eut lieu dans votre chambre.
- Comment ça ?
- Des individus auraient forcé votre porte et mis à sac la pièce . Le plus étrange est qu'une vitre était brisée et deux impacts de balle on été constaté dans le mur opposé . Pour tout vous dire , nous avions lancer un avis de recherche à votre encontre .
- Messieurs , je ne savais pas que cette ville était si dangereuse.
- Avez-vous des ennemis qui pourraient employer ce genre de procédés ?
- Je pense avoir des ennemis, car je suis une joueuse de poker de bon niveau et mes partenaires ne sont pas des enfants de cœur . Cela dit ceux sont des débiteurs et la partie n'est pas terminée. Les connaissant ils ne rateraient pas une occasion de prendre leur revanche.
- Ou étiez vous hier soir ?
- Au casino et j'ai gagné beaucoup.
- ou avez vous dormi ?
- À l'hôtel du casino , un ami Alfonso Silva m'a gentiment proposé une chambre . Il est vrai que j'étais épuisée.
- Cette décision vous a certainement sauver la vie .
- Puis-je récupérer des affaires ?
- Bien sûr mais tenait vous à la disposition de la police .
- Très bien , si vous n'avez plus besoin de moi .

«  Étrange cette fille ; elle ne semble pas être étonnée. Gardons la à l'œil . Depuis hier un gars assassiné , complètement méconnaissable et maintenant l'épisode de l'hôtel . A cette allure la ville va finir en western . »

Dans la chambre tout est dévasté : Matelas et sommier éventrés , doublures des vestes découpées , mes affaires en vrac , rien n'a été épargné. J'ai beau être habituée ça choque toujours l'esprit. Bon je préfère prendre ça comme le jeu du chat et de la souris. Aujourd'hui je suis la souris mais demain ?

Je récupère quelques affaires que je scanne pas de mouchards me change dans la petite salle de bain , j'ai toujours sur moi mon pistolet. La porte d'entrée ne ferme plus. Je suis une espionne , je suis prévenue de ces choses là . . . Bah pas le temps pour le vague à l'âme : j'ai un rencard. Je prends , quelques photos et j'écris vite un rapport circonstanciel , que j'envoie à Madame D via mon portable.

Je prends ma valise et réglé ma note en liquide . Le réceptionniste ne tarie pas d'excuses ; il me propose une autre chambre . Je refuse poliment , on va pas aider les tueurs à finir le boulot . Marchant jusqu'à la voiture .
On m'observe , j'ai intérêt de presser le pas , j'ouvre le coffre pose la valise , récupère les jumelles infrarouge, m'assoie place conducteur , ouf ! ... je scrute les alentours. Un type en costume sombre sur le toit d'un immeuble , tout proche m'observe avec des jumelles , il sait que je le regarde , mais reste impassible. On cherche à m'intimider ... ( elle reprit son sang froid ) ne crois pas m'impressionner mon gars , tu fais pour moi une cible facile . Je m'occuperais de toi bientôt.

«  la jeune femme démarra, électrocuta la masse métallique et fila vers Charlie en brouillant les pistes . »