Este presagio que me conectó contigo [Bruno Madrigal x Reader]

Chapitre 11

Bruno : Reste à mes côtés (t/p)...

Oui... pour toujours

Le beau brun se releva alors, se dirigea vers son armoire et en analysa le contenu, des petits bruits métalliques et d'autres matériaux se faisait entendre et quant à la personne se trouvant en face,  elle râlait.

Bruno : Raah... où est-qu'il est ?!

(t/p) : Tu cherches quelque chose ?

Bruno : Attends c'est une surprise... je crois que je l'avais mis là... Ah ! Trouvé !

À ces mots, Bruno sortie une petite boite en bois. Et quant celui-ci s'approcha de moi je pus la regarder plus attentivement.

(t/p) : Un tourne-disque !

Bruno : Eh...eh disons que je l'ai "emprunté" à Dolores...

Il fouilla dans la petite boite pour y trouver plusieurs disques.

Bruno : Euuh... je suis pas très fort niveau musique donc vas y choisi...

(t/p) : J'aimerais bien mais aucun est nommés.

On se regarda dans les yeux avant de rire, gênés.

J'en pris donc un au hasard et le posa délicatement sur la platine. Une petite musique douce en sortie qui allait parfaitement avec l'ambiance dans laquelle nous étions. Bruno se leva et tandis sa main vers moi.

Bruno : M'acc...m'accorderiez vous cette dance bella flor ? 

(t/p) : Avec plaisir

Je me leva et attrapa sa main avec le plus de grâce possible, puis me rappela d'une chose.

Je sais pas danser moi !

(t/p) : Je...

Bruno m'attrapa les hanches avant de me faire valser sur le rythme de la musique enivrante. Je pense qu'il remarquait mes nombreux faux pas mais n'en prêtais pas intention, le bel homme ne regardait que moi et, bien que le rouge me montait au joues, la situation dans laquelle on se trouvait était très apaisante.  

Lors de la fin du son, je me retrouva penchée dans le vide, Bruno me tenait toujours par les hanches. Il souriait. Moi également, je sentais d'ailleurs que mon visage se trouvait dans l'impossibilité de ne pas montrer mon bonheur.

(t/p) : Comment tu...

Bruno : M...ma mère nous a... éduqué dans les traditions on va dire...

Il paressait tout à coup gêné ; ses yeux regardaient ailleurs et son visage rougissait comme le mien.

J'attrapai son visage entre mes deux mains, comme je l'avais fait plusieurs fois auparavant. Bruno m'observa alors ; il devenait de plus en plus rouge, il me redressa et m'observa, son regard perça jusqu'au plus profond de mon être.

Il rapprocha son visage du mien, ses yeux verts émeraudes paraissaient luisant dans la légère lumière de la pièce. 

Sa tête continua son chemin jusqu'à se coller à mon front, nos lèvres s'effleuraient, et lorsque nous nous apprêtions à franchir la barrière invisible qui nous séparait, un énorme bruit se fit ressentir. Les lumières s'éteignirent alors, une sorte de tremblement de terre nous sépara d'un coup sec, propulsés par le choc à l'autre bout de la salle.

Bruno : (t/p) ! Ça va ?!

(t/p) : Aouch... Oui et toi ?

Il fonça vers moi sans me répondre et me prit par la main. Je pouvais apercevoir peu à peu des rochers, morceaux de plafond et autres bouts de pierre, tombés de tout les côtés.

Bruno : Il faut partir ! Vite !

Il me tirait vers lui, c'était presque douloureux, sa panique était parfaitement compréhensible et je la ressentais également. Sa main était tremblante et son visage crispé par la peur. Il courrait de plus en plus vite.

(t/p) : Bruno ! Attends !

Je tira son bras de toute mes forces et réussi à le faire ralentir, juste avant qu'une montagne de rochers tombe devant nous, nous bloquant le passage.

Bruno : Ouf...pas passez loin... Merci

(t/p) : De r...

Je ne pus terminer ma phrase que l'homme repris sa course effrénée. Il regarda autours de lui, essayant de trouver une sortie avant de se faire écraser sous le poids des pierres tombantes en chaines. 

Son visage s'illumina légèrement lorsqu'il aperçut un vieux seau.

Bruno : Allez Jorge c'est à ton tour de briller !

(t/p) : Je comprends pas bien...

Il attrapa le seau et le mis sur sa tête comme lors de notre première rencontre. Il serra ma main encore plus. Pris une grande inspiration avant de foncer vers le mur, cette fois-ci je ne pus l'arrêter, cependant, il réussi à percer le passerelle entre nous et l'extérieur, avant que le plafond s'effondre pour de bon.

Mirabel : Ça va ?!

La jeune fille qui nous appelait se trouvait quelques mètres au dessus de nous. Je leva mon pousse pour lui faire comprendre une réponse positif puis celle-ci repartis.

Bruno, lui, était étalé par terre, essayant de reprendre son souffle, je lui posa ma main sur son dos essayant de le réconforter.

Bruno : T...tout...va bien ?

(t/p) : Oui, grâce à toi.

Bruno : (t/p)... tu pleures...?

Sa main se posa délicatement sur mon visage pour retirer la petite goute qui coulais sur ma joue.

Je lui souriais et l'enlaça, il serra ses bras autours de moi et posa sa tête sur mon épaule, même essoufflé, il était adorable.

Bruno : Il...faut rattraper Mirabel.

(t/p) : Je veux bien mais tu n'es pas en état.

Bruno : Regardes...

Le brun posa ses mains sur sa bouche avant de souffler dedans, cependant ce n'est qu'un petit son aigu qui en sortit. Il me regarda avec ses grands yeux d'un air gêné.

Bruno : Mince... Attends je l'ai pas bien fait...

Je commença à rire mais après avoir replacer ses doigts il réussi à produire un son raisonnant dans toute la forêt devant nous.

Un bruit de galops se fit entendre et s'en suivit l'apparition d'un magnifique cheval isabelle.

(t/p) : Ouaah...

Bruno : Ça change des ânes du village hein ?

(t/p) : Comment tu...

Bruno : Encore une fois ma mère et ses traditions...bla bla bla...

Je pouffa légèrement de rire.

Bruno : Maintenant, si mi bella veut bien me suivre.

Il me tendis sa main une nouvelle fois pour m'aider à monter sur le bel équidé.

Bruno : Allons sauvez le miracle !

Et sans m'avoir laissé le temps de bien m'installer il donna un coup de talon au flanc de notre monture qui s'empressa de partir au galop.

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Yaaay terminado pour ce chapitre :D

Désolée d'avoir pris autant de temps à le sortir d'ailleurs mais la c'était la semaine des contrôles pour moi mais maintenant je suis en vacances donc espères pouvoir un peu plus écrire.

En plus pour l'écriture de ce chapitre j'ai souffert d'autre chose... le syndrome de la page blanche... Et oui...

Enfin bref merci beaucoup de continuer à suivre l'histoire vous êtes de plus en plus nombreux et de plus en plus d'ethnie différente et je trouve ça incroyable !

Allons conquérir la Russie maintenant mahahaha !

Allez à plus !