Este presagio que me conectó contigo [Bruno Madrigal x Reader]

Chapitre 8

PDV Bruno :

Mirabel pleurait à chaudes larmes devant moi mais je ne savait pas vraiment quoi faire...

C'est la première fois depuis un dizaine d'année que Mirabel me revoit et elle pleure déjà ! Qu'es que je vais faire ?!

Bruno : Je...Dé...

Bon sens dit quelque chose !

La fille à ma gauche se mit à sourire, elle s'appelait (t/p) d'après Mirabel.

Es ce que c'est vraiment elle ? S'il vous plait  faites que non !

Ma nièce sans me prévenir partit devant explorant les couloirs. Je lançais, quand à moi, des regards furtifs à la personne derrière moi.

Arrivés à ma cachette, Mirabel se précipita dans celle-ci, je l'arrêta un peu avant  et commença mon rituel.

Bruno : pic, pic, pic, pic, pic, touche du bois

Puis je pris un peu de sel et le lança derrière moi. Malheureusement il toucha (t/p). 

Bruno : Oh ! Pard... 

Bruno ! NON, il ne faut pas !

Bruno : Hum...

Je me retourna et rentra dans la petite cavité faisant signe aux filles derrières moi d'attendre. Je me cacha derrière un mur et fouilla dans mes poches.

Mais où est t'il ?! Ah !

Je sortis de ma poche le petit morceau de verre brillant que je gardais depuis dix ans avec moi, je connaissais par cœur les détails de la femme illustrée. 

Même si jusqu'à présent je l'espérais encore, là il n'y a plus de doute. 

Cheveux (c/c), yeux (c/e), ... c'est (t/p) qui est en pleure et qui me tends son bras pour l'aider sur la prophétie !

Non, Non, Non ! Ca ne peut pas arriver ! J'ai fais tout mon possible pour ne pas la rencontrer ! Je ne peux pas...

Je sentis des larmes coulées sur mes joues, je les essuyèrent et remis l'objet que je tenais dans ma poche. Puis invita les deux femmes à entrer.

Bruno : Et bien... bienvenue chez moi...

Les deux personnes observaient attentivement autour d'elle, je me sentais extrêmement gêné, cependant je n'arrêtais pas de fixer (t/p). Et bien que je la regardais tout les soirs, la voir en face de moi était autre chose. Elle était belle, très belle.

Nan tu ne dois pas ! Souvient toi !

Ma nièce me coupa alors dans ma réflexion.

Mirabel : Pourquoi tu n'es pas parti ?

Mens !

Bruno : Oh tu sais, le sport ça à jamais vraiment été mon truc et les montagnes sont assez hautes donc...

Je regarda alors (t/p) qui avait changé de position. Elle était maintenant au dessus de mon assiette que j'avais dessinée des années avant.

Bon... raconte en leur un peu plus...

Bruno : Je...j'aime aussi beaucoup ma famille et... mon don ne les aidait pas,...du coup je... je suis parti...

Je regarda (t/p) dans les yeux, j'essayais de retenir mes larmes et de sourire.

Elle me rendis un regard mélancolique puis se jeta sur moi. 

Je...

Mon cœur battait, des larmes coulèrent sur mes joues brulantes, elle me serrait fort, c'était la première fois depuis dix ans, non même avant mon exil, vingt ans que je n'avais pas reçu de preuve d'affection. Je profita de ce moment comme ci ça avait été mon dernier. Je la prit également dans mes bras. Mais ma conscience parla :

Non ! Ta promesse ! Tu ne pourra plus la sauver !

Je la repoussa alors, elle tapa le sol, les larmes se remirent à couler, encore et encore,...

Bruno : Non ! Tu ne comprends pas ! Tu ne peux pas comprendre il ne faut pas ! Je... peux encore te sauvée ! Je dois te sauvée !

(T/p) : Je...je suis désolée

J'essuya mes larmes d'un revers de manches.

Bruno : Il vaudrait mieux que vous partiez.

Mirabel : Nan attends ! Tiò ! Je ne sais pas ce qu'il se passe, mais nous devons savoir ce que cette prophétie veut dire !

Je repris mon calme et m'assoie sur le fauteuil. J'attrapa le plateau que ma nièce me tendait, (t/p) s'était relevée et s'était déplacée dans un coin de la pièce. 

Je suis tellement désolé...

J'expira avant de commencer mon histoire.

Bruno : Lorsque ta grand-mère voulut savoir ce qu'il se passait à la fin de la cérémonie, elle me demanda d'aller chercher les réponses dans mes visions, cependant celle-ci était trouble il n'y avait pas qu'une seule réponse, comme si le futur n'était pas décidé... mais je savait comment ça allait se terminée car je suis Bruno et tout le monde pense le pire donc... je suis parti.

Mieux vaut ne pas raconter la suite ça ne servirai à rien

Mirabel : Tu es parti... à cause... de moi

Surtout par ce que je voulais protéger (t/p), pour ne jamais qu'elle me rencontre, pour que ma vision n'est pas lieu. Mais, c'est trop tard...

Ce que je pensais je l'ai gardé pour moi mais mon regard lui ne regardais qu'elle, je ne m'en suis rendu compte qu'à la fin de ma tirade intérieur et celle-ci me dévisageait légèrement. Je détourna vite le regard.

Bruno : Je sais pas ce que ça veut dire mais je pense que...le destin, de la famille, du miracle... de l'encanto repose sur tes épaules...

Mirabel : Je...

Bruno : Ou peut-être que j'ai tord

Je fis tomber le plateau par terre.

Bruno : C'est flou, c'est flou ; c'est pour ça que cette vision est nulle... Enfin bref si t'as besoin d'aide je serai là mais... Enfin bref...

Je la poussa gentiment vers l'entrée. Puis regarda (t/p), ses beaux yeux (c/c) trahissait son incompréhension et lorsqu'elle se rendit compte que je l'observais elle s'avança vers moi et sans un mot elle rejoignit Mirabel. J'avais mal au cœur.

Bruno : J'aurais aimé en voir plus mais c'est tout se que je sais... Bonne chance...

Je regarda une dernière fois la belle derrière ma nièce et reboucha le trou avec une grande planche en bois pour ensuite m'avancer vers mon fauteuil pour regarder mes telenovelas.  

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PDV Reader

Je rejoignis Mirabel sans un bruit, quand je passa devant son oncle mon cœur battit de plus belle. 

Il parla à sa nièce puis celui-ci me regarda. Bruno referma ensuite son trou. Je regardais Mirabel qui était elle aussi dans l'incompréhension totale.

(t/p) : Mirabel ? On ferait mieux de rentrer... Tes parents doivent te chercher à l'heure qu'il est et...

Mirabel : Non je veux en savoir plus !

Elle leva son pied et donna un coup de pied à la planche avec laquelle Bruno avait bouché le trou.

(t/p) : NON ! ATT...

Trop tard. Elle s'avança dans la cavité et repris la parole, un petit cri aigu sortit de la bouche de son oncle, surpris.

Mirabel : Tu souhaites en voir plus mais tu sais comment ! UNE AUTRE VISION !