Chapitre 115- Le combat commence P2

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Rebekah

Chris et Niklaus sont de retour au QG et je suis étonnée de les trouver avec des visages aussi détendus. Après que Nik nous ai surpris Chris et moi, je m'attendais au pire. Et pourtant rien dans leurs comportements ne pourrait déceler qu'une dispute entre eux à éclater. Tous les deux rient même de bon cœur en se remémorant une rencontre avec un écureuil.

Caroline passe à mes côtés afin de rejoindre mon frère, cherchant sans doute à comprendre tout de leur petite virée matinale.

Se dévoiler de la sorte aux humains semble être un acte complètement fou et inconscient, mais Nik ne paraît pas inquiet.

— La situation est parfaitement sous contrôle, dit-il se vautrant dans l'un des fauteuils.

— J'espère sincèrement que tu l'as, car non seulement on ne parle plus que de vous sur les chaines de télévision, mais maintenant des hommes armés sont postés à chaque coin de rue ! lui fait remarquer Elijah en s'installant face à lui.

— En effet, mon frère ! se justifie Nik. Ils sont prêts à abattre n'importe quel loup qui entrera dans le vieux carré !

— Cette guerre ne concernait que nous ! Ils n'étaient pas nécessaires d'en impliquer aussi les humains !

— Et pourtant à chaque guerre, ses dommages collatéraux ! lui répond Klaus avec un certain détachement qui, visiblement, n'est pas au goût de notre ainé.

— Et pourtant à chaque guerre, ses dommages collatéraux ! lui répond Klaus avec un certain détachement qui, visiblement, n'est pas au goût de notre ainé

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C'est là où tous les deux sont différents

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C'est là où tous les deux sont différents. Alors que Klaus ne porte que peu d'intérêt pour les autres, Elijah est lui bien plus intègre et bienveillant.

Sous le regard toujours aussi perplexe de notre aîné, Nik se sent obligé de poursuivre :

— Notre ennemi est, maintenant, en position de faiblesse, Elijah ! Grâce à notre petite intervention de ce matin, une bonne partie de son armée vient d'être abattue. Silas peut lancer ce qu'il en reste, la moitié périra sous leurs balles bien avant même de nous atteindre.

— Et en contrepartie, combien de ces hommes vont mourir ?

— Que mes méthodes ne te plaisent pas m'indiffère, mon frère ! Tout ce qui importe c'est de protéger... notre famille.

Entre rêves et réalité  ( EN COURS DE CORRECTION )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant