Chapitre 3- Révélation

3.1K 111 49
                                    


Caroline

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Caroline

Allongée sur le canapé, je laisse mon regard se poser sur lui. Il est installé dans un fauteuil, ses jambes étendues sur une petite table. Il n'a sûrement pas remarqué que je le dévisage depuis un bon moment, son corps attirant. Ce n'est pas la première fois que je le vois dans cette tenue, mais depuis que j'ai commencé à admettre à moi-même qu'il m'attire, je le regarde différemment.

Même si c'est mal, c'est plus fort que moi.

Et cette idée me ronge, jamais je ne pourrais m'y abandonner. La seule chose contre laquelle je devrais toujours lutter, c'est contre ces sentiments.

À certains moments, il lui arrive de m'observer et à chaque fois qu'il le fait, j'ai l'impression d'être l'une des plus belles merveilles du monde. Il a une telle manière de poser ses yeux sur moi que cela me trouble à chaque fois.

 Klaus

De nombreuses heures se sont écoulées et Caroline a cessé de m'observer ; elle dort maintenant profondément. Mon téléphone émet une vibration. Je me lève et change de pièce afin de ne pas la réveiller.

— Puis-je savoir où tu te trouves ? demande mon aîné.

— Eh bien, je suis à une fête plutôt sympa. Je crois que ça se nomme... une soirée pyjama. Non, attends, pour cela il faudrait porter un tee-shirt et, en réalité... on m'a soudoyé le mien.

— Une quoi ?

— Tu ne connais pas ! Pas étonnant, cela t'obligerait à quitter ton costume de pingouin.

— Je vois que tu t'amuses bien alors que la sorcière vient de baisser le voile ! Ne crois-tu pas qu'il serait préférable qu'on reste ensemble, tu sais... comme une famille ?

— Premièrement, je n'ai en aucun cas besoin de chaperons. Deuxièmement, n'oublie pas que je suis l'hybride originel et que personne ne peut me tuer. Et troisièmement, arrête avec cette histoire de famille.

— Niklaus, à quoi cela sert-il de rester seul, chacun de son côté ?

— Parle pour toi, Elijah. Qui t'a dit que j'étais seul ?

Surpris, mon frère marque un temps d'arrêt.

— Et pourrais-je savoir avec qui tu te trouves ?

— Bonne soirée, grand frère.

— Nikla...

Stefan

— Est-ce que tout va bien ? demandé-je à Elijah.

— Mon frère vient juste de me raccrocher au nez.

Il semble dépité.

— Pourquoi riez-vous, Stefan ?

Entre rêves et réalité  ( EN COURS DE CORRECTION )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant