Fanfiction qui débute juste après l'épisode 4x21 de la série The vampire diaries.
Comment Caroline se sentira-t-elle après le départ de Klaus pour la Nouvelle Orléans ? Osera-t-elle avouer ses sentiments pour l'hybride originel ? Goûtera-t-elle au...
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Caroline
Une sensation de plénitude flotte tout autour de moi, et certains muscles dont je ne soupçonnais même pas l'existence me font me sentir réellement vivante. Le résultat d'une nuit plus que torride dans ses bras.
Lors de nos ébats, le lien qui nous unissait a repris sa place bien particulière pour mon plus grand soulagement. Je ne supportais pas que quelque chose entre nous puisse avoir été rompu.
En lui avouant que je l'aimais, j'ai eu la sensation de l'atteindre réellement. Il m'a d'ailleurs promis qu'il n'y aurait plus de secrets entre nous, et j'ai presque envie de le croire. J'ignore s'il faisait allusion également au fait de partager tout ce qui le hante, tout ce qui fait de lui ce qu'il est aujourd'hui, mais j'ose l'espérer.
Mes doigts redessinent les oiseaux gravés sur sa peau, et ma tête est nichée délicatement dans son cou. Un bras possessif m'enlace, et j'aime cette sensation, je dois être folle.
— Mais c'est dingue !
— Quoi ? dit-il en se redressant sur les coudes.
Mon regard ne cesse de faire des allers-retours entre mon poignet et son torse, des similitudes que je n'avais jamais remarquées auparavant. Sans ouvrir la bouche, je lui montre l'intérieur de mon poignet pour lui dévoiler mon tatouage représentant un oiseau en plein envol.
— Tu vois, quand je te disais que nous étions les mêmes !
J'explose de rire et retourne me nicher contre lui, là où je me sens si bien. Ses doigts parcourent ma colonne vertébrale avec une tendresse insoupçonnée. Ce moment est parfait, et j'aimerais qu'il ne se finisse jamais. J'ai l'impression d'être déconnectée de la réalité, qui, je le sais, nous rattrapera dès que nous quitterons cette chambre.
Morphée finit par m'envelopper dans sa chaleur jusqu'au petit matin.
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Lorsque le soleil traverse les persiennes et réchauffe mon visage, j'ouvre les yeux pour découvrir un paquet noué d'un ruban. Je me redresse en position assise et ne peux m'empêcher de l'attraper. Curiosité, quand tu nous tiens.
