Chapitre 16

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Docteur : il peut y avoir une chance pour que Mademoiselle Leyla retrouve la vue.

Hamza, choqué ne dit rien, voulait il vraiment qu'elle retrouve la vue? Après tout ce n'était pas à lui de décider de ça... mais il ne pouvait pas s'empêcher de penser que si elle voit elle t'enterrait de partir.

Hamza : elle peut sortir quand?

Docteur : dès maintenant on n'a finie de lui faire examen et voici l'ordonnance pour les calmants.

Hamza (en serrant la main du docteur) : bien, merci docteur.

Hamza : Youcef tient va me chercher ces médicaments.

Youcef : bien patron.

Il entra dans la chambre où était Leyla, elle dormait une infirmière aller la réveiller quand je l'ai poussé.

Hamza : réveille là et je te pete t'es dents, bouge de là

Et la pris dans ses bras.

Dans la peau d'Hamza

Je l'a pris dans mes bras elle était tellement maigre que j'avais l'impression d'avoir les bras vide d'après Adam elle refusait presque de se nourrir. Tu me déteste donc tant que ça Leyla? ...

Je l'emmène donc chez son père comme convenue, Adam et Ayna y était déjà pour la surveiller le temps que la date du mariage approche. Vous allez me dire pourquoi je vais l'épouser? Pcq mon père me bouff le crâne pour que j'ai un héritier mais je n'ai croisé dans ma route que des putes en chaleur. Puis Leyla et tomber sur ma route... elle sera mienne et fera naître mes enfants.

Je l'a dépose dans sa chambre et sort de celle ci, et tombe nez à nez avec son père,

Moi : j'ai effacé toute les dettes que tu devais non seulement à moi mais aux autres mafia aussi.

Lui (me fixant) : Pq?

Moi : quoi Pq?

Lui : Pq ma fille?

Je lui est simplement lâcher un sourire au coin,

Moi : commence les préparatifs du henné Kayinbaba (beau-père).

Et je suis parti rejoindre ma ville.

Retour dans la peau de Leyla

Je me réveilla doucement, et quelqu'un me sauta dessus j'ai directe reconnu l'odeur d'Hatice.

Moi : Abla (Grande sœur) c'est vraiment toi? Je suis à la maison sayez?

Hatice : oui sayez ma vie sayez

Ayna : cava ma belle tu te sent mieux?

Moi : oui cava el hamdulilah Ayna abla (grande sœur) .

Moi : Anne (maman)? Elle est où?

Elle (en rentrant de la chambre) : Burdayim kizim (je suis là ma fille)

Et mes larmes tomba toutes seules elle m'avait tellement manqué le contacte avec sa peau son odeur, elle ne m'a pas donné la vie mais elle m'a accompagné toutes au long qu'Allah la récompense.

Elle (en prenant ma tête dans ses mains) : Kizim dit moi la vérité, il ta touché hein? Il ta fait quelque chose??

Moi : non anne (maman) je n'ai rien, je vais bien el hamdulilah.

Elle : comment ton père a pus accepter que t'épouse un homme comme lui je n'arrive toujours pas à le croire...

Moi : c'est le destin anne on n'y peut rien, j'ai préféré la vie de mon père quitte à gâcher ma vie.

Elle ne dit rien et me caresse la joue.
Les jours sont passés jusqu'au jours des fiançailles...

Voilée, Aveugle et kidnappée Où les histoires vivent. Découvrez maintenant