Naya- coupable à vie...

53.

✍🏽.

Il me tue ce gosse...

Hâte de revoir Aliya...

J'ai pris la route, vous savez pas squ'il met arrivé d'ailleurs, vous serez choqués du vices des gens sah.

Jvais vous faire un petit flash back, histoire de bien vous remettre dans le contexte.
Je vous rappel juste que j'étais en voiture avec Naya et Derya.

FLASHBACK.

J'ai tracé tout droit, y'avait le groupe de bdh qui était venu nous tape la discute.

Naya: Derya ça va ?

Derya: euh...bah ouais pourquoi ?

Moi jamais ça me cala hein, en plus putain jsuis fatigué.

Naya: mais jte connais meuf, y'a heja c'est obligée.

Derya: chuchotant jte dit après.

Moi: EH j'ai entendu tu vas ldire maintenant.

Elles ont trop cru pouvoir m'échappe comme ça wsh !!

Naya: tu veux vraiment pas le dire devant lui ?

Moi: allez vas-y je m'adapte, ta tes trucs ?

Derya rigole, mais légèrement, un rire bizarre.

Derya: non c'est hors sujet.

Naya: c'est en rapport avec l'autre folle ?

Je l'ai pas entendu réplique, ça doit être à cause de ça, elles font causette moi j'écoute, les filles vous parlez trop c'est abusé hein, même pour dire de la merde.

Naya: dit nous, Amine il dira rien.

Elle me regarde, putain ELLE EST TROP BELLE ZBI, mohim (oublie ce qui vient de se passe)  elle me regarde en mode j'dois confirme, bien sûr que jvais rien dire, c'est meufs, jlai déteste, un vrai groupe de bdh.

Moi: arrête de mregarde comme ça, wAllah j'dis rien jsuis pas un gamin et jlai aime pas c'est 3aflita.

Je me retourne pour sourire à Derya, mais elle m'avait vraiment l'air mal, donc j'ai vite effacé mon sourire.

Derya: Naya c'est très grave sah.

J'le sens pas j'sais pas pourquoi.

Naya: mais dit Derya.

Derya: sache que tout, mais vraiment tout ce qui va se passe, se sera...

Eh là, je vous jure j'ai plus aucun souvenir, j'ai du me réveillé et d'ailleurs je sais pas comment j'ai réussie a me réveillé, l'accident il était chaud sa mère.

Mohim, je me réveille dans une cave, avec du sang partout.

Moi: sa mère.

Je touche le sang sur mon crâne, et je regarde mes mains.
Avec le peu de force que j'ai, je me lève, je regarde autour de moi je vois rien du tout, je fouille mes poches, plus de tel, ça m'étonne pas.