❅Refuser d'aimer par peur de souffrir, c'est comme refuser de vivre par peur de mourir❅
Cette histoire porte sur Megumi, un étudiant à l'université âgée de 20ans, un étudiant pas comme les autres, doté d'une spécialité... Il ne peut pas sentir les é...
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Prologue:
Les deux garçons étaient en train de réviser, chacun complétait l'incompréhension de l'autre en s'entraidant. Cependant Megumi venait de révéler l'un de ses secrets les plus vitale. Comment Yuji allait le prendre?
PDV EXTERIEUR.⁰
Qu'est ce que Megumi vient de dire?
- Je suis anhédonique, le genre de personne qui ne ressens absolument rien et ça depuis ma naissance. C'est comme une maladie si tu veux.
Ses doigts frissonaient légèrement. Il lui avait dit ça si calmement qu'on aurais dit qu'il s'agissait d'une discution banale.
Yuji savais que Megumi n'était pas comme les autres. C'était donc ça le problème dont son grand père a parlé avant sa mort...
- J'ai un nouvel objectif. Dit-il en se levant.
Le noireau ne comprenait pas.
- Je réussirais à te faire ressentir quelque chose.
C'est pas un match à gagner qui demande de la détermination ou de la force non, là on parle bien de résoudre une maladie psychique sans remède certifié, depuis la naissance.
C'est pas rien.
Mais il voulais offrir ce cadeau au noireau. Il voulait l'aider à vivre comme il se doit. Une vie sans émotions n'est clairement pas une vie selon yuji. Yuji était quelqu'un avec des valeurs qu'il respectait profondément. Si une personne a besoin d'aide, il l'aidera. Si quelqu'un ou quelque chose même n'est pas bien, il veut être là pour aider, pour servir et il en viendrait même à se sacrifier pour le faire. C'est la définition de Yuji. Un être spécial qu'on ne voit pas dans la rue comme ça.
Certes débile, gamin, immature mais Yuji.
Megumi s'étonna légèrement de cette réplique.
- Tu sais, c'est très sympa mais il faut rester sur terre, on est pas dans les bisounours. Soupira t-il ironiquement.
- Oh, toi aussi tu regardait ça quand t'étais gamin!?
Il n'y croyait pas. Le rosé arrivait à changer si rapidement de sujet de la façon la plus drôle qui soit.
Il se réassoie et repris un air un peu plus sérieux.
- Je suis sérieux.
- T'es fou.
Les deux se regardèrent intensément dans le milieu des yeux.
-C'est scientifiquement impossible.
L'ambiance était légèrement froide en raison de la fenêtre ouverte dans la chambre, à travers laquelle le bruit d'une ambulance passa.
