𝐩𝐫𝐨𝐥𝐨𝐠𝐮𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭. 𝟐

81 3 11
                                    


- Il refuse de voir qui que se soit même moi je n'arrive pas à lui parler.

Juan Pablo sort de la chambre de mon père. Le visage rouge de larmes, 

Nous sommes tous dans le salon, la mort de mes hermanos s'est passer hier soir. Apres leurs mort mon père s'est transformer en monstre. Il a tirer sans jamais s'arrêter. J'ai, pour la première fois de ma vie, réalisé qui était Ernesto Gomez. Une fois que ils étaient tous mort mon père a simplement lâcher son arme et ordonner que les corps soit exposé dans les rues de Juarez pour montrer ce que il fait a ceux qui essaye de le toucher. 

La sonnette s'active, ma grand mère se lève mais je l'a dépassé. Je m'approche d'elle et lui fait signe de s'assoir. Sa jambe est encore fragile le médecin lui a dit d'éviter de la poser durant ces 2 prochaines semaines. Notre médecin, celui du cartel, l'a soigné mais il faudra faire attention. Un geste trop brusque pourrais rouvrir et provoquer une hémorragie, avec son âge mi abuela ne pourrais pas le supporter. Elle risquerait la mort. 

Je m'approche de la porte et l'ouvre. Deux sicarios accompagne Don Francisco, un amis proche de mon père, il était là quand on a été attaquer. Ensuite il s'est charge de ramener les corps et d'organiser la veillez. Ils méritent beaucoup, ils étaient juste des enfants. Ils avaient toute la vie devant eux mais ils sont victimes de choses qui dépasse leurs âges. 

- Avais vous découvert quelque chose ? demande les larmes encore visible sur mes yeux et ces derniers surement rouges

- ce n'était pas l'armée mais des policiers municipale de Tijuana que on avais payer pour assassiner votre père lors de son soit disant transferts . Malheureusement pour eux ils ont échouer. 

- je vous laisse voir sa avec mes frères. l'avais vous fait ? 

- Elles sont prête mes hommes attendent le signal pour continuer. 

- Je vous en remercie Don Francisco 

Un petit silence sans gène. Je n'ai rien a dire et lui n'ont plus. C'est comme sa. 

- toute mes condoléances, comment vas ton père ? prononce t'il détacher de son rôle de narco comme si il n'avait pas commit des meurtres lui aussi. 

- il s'est enferme dans sa chambre il refuse de voir quelqu'un. Don Francisco essayer de lui parler il n'écoute que toi. 

-  je vais essayer mais je te promet rien 

Don Francisco rentre et part en direction de la chambre de mon père dans laquelle il s'est refermé. Je retourne en tremblant dans le canapé. Ma mère est en pleine crise de pleure, je prend sa main pour la soutenir malgré ma douleurs. Ma mère a besoin que je soit forte. 

Les jours on passé et ma mère passe ces journées a pleure ces deux jumeaux. Elle ne dort plus, elle pleure, cris sa douleurs et sa peine nous percute tous. Mon père a fini par sortir, il a jurer de venger nos petits frères. Durant les quelques jours ou il a été au plus bas, Don Francisco a pris le relai, il s'est assurer que tous n'oublie pas qui est le chefe du cartel de Juarez. 

J'ai connu cette homme des ma naissance, cette homme, que mon frère considère comme son frère, son petit frère, a toujours été dans nos vies. Physiquement c'est un brun au yeux noir foncé. Un physique de sportif un peu âgé mais maintenue en forme. Mentalement il est froid a premier abord, il n'a que très peu confiance dans les inconnues. Seul nous et sa femme avons sa confiance. Il est un de nos associé les plus expérimenté, il contrôle tous les sicarios et gère les livraisons. Avant de rencontrer mon père c'était un garçon de Juarez sans problèmes, sa mère vivais au centre de la commune. Son père lui était déjà mort. Il avait été la au mauvais moment, Francisco était présent, au lieu d'avoir peur des hommes il a tenu a l'âge de 12 ans sa première arme. Il a tuer son père qui agonisez déjà sur le sol du parking. Pourquoi je n'ai sais rien, mon oncle a toujours refuser de nous le dire.

El cartels de los AngelsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant