6. Vide

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J'ai peur...

Pov Kirua

Pourquoi Père voudrais me voir ? J'ai pourtant bien exécutée ma dernière mission, les cours se sont bien passés. Alors pourquoi me faire convoqué ! Je marchais péniblement dans le long couloir sombre et froid menant au bureau de mon Père. Une fois devant la grande porte en chêne j'inspira puis expira, histoire de déstresser. Je fini par toquer à la porte, une voix grave et rauque me répondu et le dit d'entrée.

Je poussa la poignée en fer et pénétra dans l'immense bureau qui était toujours aussi sombre. Père me fit signe de venir m'installer sur son énorme canapé en velours qui se trouvait en plein milieu de la pièce. Stressé je m'exécuta traversant à pas furtif la grande pièce. Ma veste tomber légèrement sur mon épaule, je m'en pressa d'un geste rapide de la remettre correctement. Je ne voulais pas qu'on me voit porter le débardeur de Gon.

Je m'assis sur le canapé, je sentais le regard pervers de ce grand homme me transpercer de toute part. Chaque centimètre carré été examiné par ce regard qui me faisait trembler de peur.

Silva ( nom du père ) était un grand tueur à gages et participer aux nombreuses rentrée d'argent de la famille, bien sûr comme l'assassinat était une histoire de famille il transmit c'est savoir-faire à tous ses enfants. Silva est un homme souvent occupé pris par son travail, généralement lorsqu'on était convoqué cela n'était pas bon signe. C'était un homme assez imposant à peu près 1m95, grosse masse de muscle de longs cheveux blancs de temps en temps attachés en queue-de-cheval basse et les mêmes yeux bleus que moi. Bizarrement il n'y avait que moi qui avait hérité de cette chevelure et de ce regard perçant, tous mes autres frères et sœurs avaient hérité des cheveux bruns et du regard ténébreux de ma mère.

Grâce à cette apparence physique j'étais le chouchou de mon père, ce qui rendait jaloux mon frère Miruki. Cet avantage me permettais de faire quelques écarts de comportement sans que Silva ( S ) me dise quelque chose. Soudain il ce racler le fond de la gorge ce qui signifiait qu'il allait bientôt me parler.

S- Fils, j'ai quelques mots à te dire sur ta dernière mission.

Ki- J'ai exécuter les ordres comme demander...

S- Ne sois pas si arrogant je te signale que j'ai dû envoyer Illumi pour finir ton travail

Ki-.

Soudain ma veste tomba de nouveau sur mon épaule laissant apparaître la bretelle du débardeur de Gon. J'étais mort, c'est impossible que Père ne l'ai pas vu ! Il voit tout, il sait tout, il entend tout ! Mon corps tout entier se mit à trembler, tout ce que j'étais capable de faire c'était de regarder le sol. Je sentais son regard posé sur mes épaules, comme un énorme sac de cailloux. Ce regard me transpercer la peau et aller visiter les profondeurs de mon âme. J'allais prendre cher cette fois... La peur m'agripper les tripes le seul fait d'entendre sa voix me faisait peur.

S- Kirua, tu peux m'expliquer à qui appartient ce t-shirt que tu portes ?

Je répondu honnêtement cela ne servait à rien de mentir il l'aurait su de toute manière.

Ki- Il appartient à un de mes camarades de classe Père.

S- Et pourquoi te permet tu de le porter ?

Ki- Car mon autre t-shirt été trampé de sueur car j'avais joué avant l'arrivée des autre. Ce camarade m'a gentiment proposé ce débardeur en rechange.

Ma tête était toujours basse mon regard vagabond. La colère se fit sentir dans sa voix.

S- Kirua es-tu sûr que cela et juste un camarade et pas un ami ?

Ki- Oui j'en suis sûr.

S- Alors dans ce cas, puis-je avoir le nom de se camarade. Je me chargerai de lui.

Tout se chamboulé dans ma tête je ne pouvais pas inclure Gon là-dedans c'était impossible pour moi. Mon cerveau ce mis en marche pour trouver une solution. Mais je ne voulais pas que la seule personne qui avait de l'attention en vers moi finissent mort.

Ki- Il s'appelle Haru Père

S- Tu ment Kirua... Je vais devoir te punir, tu le sais...

Non ! NON ! Tout ce que vous voulez mais pas SA pas SA !

S- Aller tu sais comment cela ce passe, enlève-moi cette veste et ce débardeur tout de suite !

J'étais tétanisé et m'exécuta, je n'avais pas le choix je ne voulais pas inclure Gon là-dedans c'était mes histoires. C'est moi qui n'avais pas voulu lui rendre le débardeur j'aurais pu, j'aurais pu le faire mais je l'ai pas fait alors maintenant j'endosse simplement les conséquences de mon acte c'est tout c'est comme ça je ne pouvais rien y faire. Cette peur était tellement incontrôlable que des larmes se mirent à couler sur mes joues.

S- Kirua ! Tu sais bien que je n'aime pas quand tu pleures, tu à l'air encore plus faible et misérable !

1h plus tard

Je sorti enfin de la salle, mon corps me faisait mal cette douleur elle était ancrée en moi. J'avais des difficultés à marcher dans le couloir, mes jambes tremblaient et je m'agrippai au mur. J'étais tellement faible face à lui, face à ce qu'il me faisait subir. Je ne pouvais rien faire, la seule personne de qui j'avais peur c'était lui. Un jour je le tuerai, je le jure je le tuerai ce sera ma vengeance pour ce qu'il m'a fait subir. Avec difficulté je retourna à ma chambre c'est traces bleues et rouge été encrées sur mon torse, sur mes cuisses, sur mes jambes dans mon cou. Elles me faisaient extrêmement souffrir mais je n'y pouvais rien c'était comme ça, comme ça depuis que j'étais petit.

J'eus beaucoup de mal à ouvrir la porte de ma chambre, je me dirigea vers mon lit et m'effondra dessus. C'était idiot je me faisais encore plus mal en faisant ça, mais tant pis j'avais sommeil j'avais besoin de dormir. Je décida de sauter le repas. Avec beaucoup de pensées en tête je m'endormis.

Je me réveilla en pleine nuit vers 2h du matin. La Lune été levée, les étoiles briller. Je pouvais observer ce spectacle calme et reposant à travers la fenêtre de ma chambre. Soudain pris d'une envie je décida de me lever pour aller prendre l'air, mais mes jambes me faisait encore souffrir... Tant pis, avec des petits pas je me dirigea vers la vitre, j'ouvris la fenêtre et m'installa sur le balcon. Mes avant-bras reposer sur la rambarde en métal froide, ma tête était orientée vers le ciel observant les astres.

Au bout de quelques minutes mon regard se porta vers le vide qui se trouvait en dessous de mes pieds. Il m'envoûté, ce vide j'en avais envie, il était si proche je voulais le faire. Ce serait la fin de mes souffrances, la fin de mes tourments, ce serait la fin de tout pour moi. Il n'y a que les faibles qui ne supporte pas les charges de la vie qui décide d'en finir et je ne suis pas ce genre de personne. Une prise de conscience me fit m'éloigner doucement du balcon, je devais vivre, vivre pour lui, je devais survivre. Je tourna les talons et me trouva de nouveau dans ma chambre, je l'aissa la vitre entrouverte pour pouvoir accéder au vent froid de la nuit est parti me recoucher, après tout demain j'avais cours et j'allais voir Gon.

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Voilà un nouveau chapitre j'espère qu'il vous aura plus je vais essayer de sortir au moin un chap par semaine je ne sais pas vraiment quand mais je vais essayer de me fixer un jour régulier. Là je prend pas mal d'avance, si vous lisez ça c'est que moi je suis en train d'écrire le chap 8 ! Sinon j'espère vraiment que celui-ci vous aura plus !

( 1311 mots )

DIABOLO FRAISES 🍓

Mlle_Chisaki  t'es satisfaite !

Mon Antidépresseur [ Killugon ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant