10-De véritable amis

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Anne: Bravo Billy! Tu as fais fuir Azélie!

Billy: Et alors, elle était dans nos pattes non?

Ruby: C'est SA maison qui a brûlé! Pas la tienne donc je dirais que tu as été très malpoli!

Gilbert: Allons la retrouver.

Billy: Qui voudrait aller dans le bois chercher quelqu'un que tout le monde déteste? Personne.

Moody: Moi je ne l'a déteste pas.

Ruby: Bien qu'elle a trahis mon secret, Azélie reste mon amie!

Gilbert: Qui veux venir avec moi la retrouver?

Tout la classe ajouta en même temps un: Moi! décisif. Tout le monde excepté Billy Andrews entra dans la forêt dans le but de retrouver leur chère camarade de classe. Durant les minutes qui suivent, le groupe c'était dispersé et criait à travers la forêt: AZÉLIE!

Bien évidemment, personne ne l'a trouva dans la première demi-heure de recherche mais Gilbert fut le premier à retrouver son amie avec sa détermination. Il la trouva au bord de la rivière qui longeait les maisons environnantes en train de pleurer.

Gilbert: Azélie? Vas-tu bien?

Azélie: Non pas vraiment...

Gilbert: Tu t'es blessé?

Azélie: Non mais...

Gilbert: Mais quoi?

Azélie: Ma maison a...elle a...brûlé.

À ce moment précis, le jeune garçon eu une révélation.

Azélie: Tout vas bien?

Gilbert: Et si c'est...

Azélie: C'est?

Gilbert: Et si c'est de notre faute que ta maison est...brûlé.

Azélie: Ce n'est aucunement le moment de me faire une blague sur ça! Et en plus, tu n'étais même pas là et moi non plus!

Gilbert: Si j'avais oublié d'éteindre le poêle et que toi aussi...

Azélie: Attends? Je croyais que tu l'avais éteint.

Gilbert: Mais moi aussi je croyais que tu l'avais éteint.

Cette fois si, Azélie se mis à sangloter très fort et tomba dans les bras de son ami. Comme si ce n'était pas assez, c'est à se moment précis que tout les élèves de la classe arrivèrent. Ils n'eurent guère le temps de voir les deux amis se faire un câlin car les deux amis se sont lâchés rapidement en les entendant arriver. Gilbert avait une larme sur la joue donc la classe trouva cela étrange.

Moody: Gilbert, tu pleures?

Gilbert: Euh non enfin oui...

Josie: Oui ou non?

Gilbert: C'est que...

Azélie: Si vous voulez tout savoir c'est de ma faute si ma maison est pris en feu...

Gilbert: Mais c'est totalement faux! C'est de la mienne aussi!

Anne: J'ai du mal à suivre moi...

Diana: Comment ça c'est de votre faute?

Azélie: Nous avons oublié d'éteindre le poêle...

Jane: Nous? Comment ça "nous"?

Azélie: Gilbert est venu chez...il est venu chez moi et...

Gilbert: En débarquant du train j'ai croiser Azélie donc je lui ai fait ses points de sutures et ensuite je suis allé chez elle pour cuisiner et je crois que nous avons oublié d'éteindre le poêle...

Josie: Tu es aller chez elle pour cuisiner?

Anne: C'est pas le sujet!

Diana: Est-ce que ça va aller Azélie?

Azélie: Oui... mais évitons d'en parler s'il vous plait car cela va juste me rappeler à quel point mon père va se fâcher contre moi et que je n'aurais plus de toit durant les réparations...

Gilbert: Je serais prêt à te proposer de rester chez moi en attendant que ta maison soit reconstruit puisque c'est aussi de ma faute...

Anne: Et ne t'inquiète pas pour ton père, je viendrai avec toi lui raconter ce qui c'est passer.

Ruby: Moi aussi je vais venir!

Diana: Et moi!

Moody: Je suis sûr que tu aurais fait la même chose pour nous si nous aurions perdu notre maison donc je viens également!

Jane: Moi également!

Josie: Bien que je ne t'apprécie pas tant que ça, je vais venir aussi.

Toute sa classe ajouta un: Moi aussi je vais venir! À ce moment précis, la jeune fille réalisa qu'elle avait de véritable ami(e)s se qui l'a fit pleurer. Pas pleurer de tristesse, mais plutôt pleurer de joie.

*À la gare vers 11h*

Azélie aperçu son père descendre du train. La jeune fille couru vers son père pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. Puisqu'elle n'avais pas le courage de l'annoncer à son père, Anne intervenit suivi de toute la classe.

M.Howard: Que me vaut cette accueil?

Anne: Votre maison a... elle a...

Diana: Bru... brûlé...

M.Howard: Pardon?!?

Azélie: Notre maison a brûlé...

Cette annonce à déboussolé le père de la jeune fille. Après quelques minutes, les adolescents ont commencé à lui raconter se qui c'était passer en détails. Bien que le père était extrêmement triste et choqué, après une heure il avait l'air d'aller mieux. Il essaya de trouver un moyen pour avoir un toit durant une semaine et se rappela qu'il avait aperçu une chambre d'hôtel à Charlottetown. Mais il se rappela aussi que l'école de sa fille allait reprendre cette semaine donc il devait trouver une autre solution.

Azélie: Papa? Tu me semble confus.

M.Howard: C'est que je n'ai pas d'idée ou aller durant la semaine. Je voulais aller à Charlottetown mais tu as école.

Azélie: Mais ce n'est pas grave si je manque de l'école.

M.Howard: Bien sûr que si c'est grave!

Azélie: Ah mais je me rappelle, mon ami Gilbert Blythe m'a proposé de resté chez lui jusqu'à ce que notre maison soit réparé.

M.Howard: Notre voisin?

Azélie: Oui.

M.Howard: Bon d'accord, moi je vais aller à Charlottetown cette semaine pour arranger des affaires avec la banque.

Azélie: D'accord.

Vers 16, Azélie retourna chez les Cuthbert dans le but de récupérer ses affaires. Elle joua avec Anne le reste de la journée. Marilla lui offrit une petite pâtisserie juste avant de partir et elle se rendit chez son voisin vers 21h. Elle marcha durant plusieurs minutes dans le but de s'y rendre et se mit à pleuvoir. Par chance, elle était presque rendu donc elle se mit à courir et ne tomba pas dans la bouette. En arrivant elle cogna à la porte et Sebastian lui ouvra.

Une romance involontaire-Gilbert Blythe x reader(Azélie)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant