«Tu n'est pas obligé de resté ici.»
Je sentais mon corps bouger, manifestant mon réveil. Mes yeux s'ouvrirent, et un plafond blanc presque aveuglant apparue. Je tourner la tête et, tout ce que je vis, c'était les mêmes murs aveuglant que le plafond. Je savais que je n'était pas dans mon lit, que ce n'était pas un cauchemar la nuit que je viens de passer, non, je sais pertinemment bien que tout ce que j'ai vécu cette nuit est réel. Je leva ma tête et observa toute les choses qui m'entourais. Mon regard passer de la porte beige à la fenêtre ou le soleil laisser éclairer la pièce. Je savais bien que j'étais probablement à l'hôpital, est ce qu'ont m'avais retrouvé? Avaient-ils retrouvaient Justine aussi?
Ces questions hantaient mon esprit. Seules, je pensais à la nuit que je venais de vivre. Justine, le bâtiment, la sortie, son corps meurtri.
Toutes ces images défilaient dans ma tête et des larmes apparurent au coins de mes yeux.
Je me suis redressé, et je sentis la peur m'envahir.
J'était toujours dans le même bâtiment.
Mais, je n'était plus à la même place, je n'était plus là où je m'étais écroulé, le corps de Justine avait lui aussi disparus. Si je ne me dépêcher pas de sortir d'ici, j'allais sûrement mourir. Je fouilla mes poche, seul mon portable était sur moi, la caméra, la lampe, elle avais disparus. Je me releva après quelques minutes d'attentes à chercher le courage de me relever et de parcourir, encore, les meme couloirs.
J'ouvris la porte, regarda des deux côté du couloir et, je sorti. Je me suis remise à marcher et mon seul but, était de sortir.
Je voulus regarder regarder l'heure mais mon téléphone affiché un écran noir manifestants qu'il n'avais plus de batterie, je poussa un profond soupire avant de regarder mes pieds qui marché machinalement pour me conduire vers la fin de ce calvaire. Alors que je continué de marcher, encore et toujours, j'entendis des pas résonner dans le couloir qui m'entouré. J'ai accéléré mes pas et et prise de peur je me suis agrippé à la première poignée qui ce présenté et j'ai ouvert la porte, m'enfermant dans la pièce. Je me suis fracassé contre le porte et je me suis effondré, mon corps ne bougé plus, je sais ce que cela fait maintenant la peur, ce sentiment qui empêche ton corps de bouger et qui te fait sentir plus lourd que de la roche. J'était pétrifié contre la porte, mes main étaient tremblantes et glacées. Ma respiration ce faisait forte et je le contrôler pour la calmer. Je les entendaient toujours, c'est pas répétitif, qui ne s'arrêterait pas et qui devenait de plus en plus proches. Et je compris enfin ce que c'était que d'avoir peur à ne pas pouvoir en crier, quand la poignée c'est mise à bouger frénétiquement et que des grognements ce faisait entendre derrière la porte. Je ne contrôlais plus mon corps, des larmes coulées de mes yeux pour finir par s'écraser sur mon pull. Je savais pertinemment que mon existence allait s'arrêter ici. Alors je me suis mise à attendre que la personne ou la chose qui s'acharnait sur la poignée, pousse la porte ou la défonce pour découvrir que je la bloquer avant de me faire subir le même sort que Justine à eu.
Et c'est ce qui s'est passé.
La porte et tomber à côté de moi juste après que la personne ou la chose et frapper trois fois exactement à la porte. J'étais abattu contre le mur les yeux remplit de larmes et les membres tremblants.
Je n'oublierai jamais ce que j'ai vue.
Il ce tenait devant moi, il était grand, gigantesque même, pale enfin comme vous le savez il était blanc, dépourvue de visage et terrifiant.
Je sentis la fin s'approcher quand il a commencé à s'avancer vers moi et qu'il a tendu son long bras vers moi. Je ne me souviendrais jamais de comment j'ai fait mais avant que je n'est eu le temps de m'en rendre compte, j'ai pris mes jambes à mon cou et je suis sortis de la salle en courant alors qu'il, oui lui, aller m'attraper. Plus je courais, plus mes poumons s'épuisaient et plus les couloirs me semblaient étroits et identiques. J'étais enfermé ici, je l'est sues quand j'ai vue le cul-de-sac qui ce présentait à moi. La j'ai compris que j'était faite comme un vulgaire rat que l'on piège. Je me suis alors fracassais comme le mur et j'ai attendue. Je me suis assise sur le sol froid et mon regard ce plongeait dans le long couloir sombres ou j'attendais qu'il vienne ce présenter à moi. Mais il n'est pas venue. J'ai du attendre une dizaine de minute avant de le relevé et de marcher doucement.
M'avais t'il perdu de vue? Nan enfin je veut dire, c'est le Slenderman, tu entre dans son territoire, il te pourchasse jusqu'à t'attraper et te faire ce que lui seul sais, et à envie de te faire. Que ce soit de te torturé ou de te violé, personne ne le sais, a part lui. Évidemment qu'il savais ou j'était, il avait prévu quelque chose, je ne sais quoi, mais lui il le savait.
Enfin c'est évident.
Le sol était glacé et ma peau aussi. J'ai finis par le relevé et j'ai inspiré profondément avant d'expirer silencieusement. Mes pas se faisaient bruyant dans le silence de ces couloirs, mais je continua mon chemin, recroquevillée sur moi même.
Quand est-ce que cela aller cessé ?
Je ne sais pas.
Je ne sais plus.
J'ai besoin de sortir d'ici, maintenant !
J'ai alors commencé à courir dans les couloirs, le noir était maître, mais je ne cesserais pas ma course. Je passe devant je ne sais plus combien de portes, de fenêtre condamné ou barricadées.
Puis ma course s'arrête ici, devant cette porte, ou le bois était plus souillé que les autres porte, ou la petite fenêtre au centre de celle-ci montrait la liberté.
J'avais réussi, la sortie, elle était la devant moi.
J'ai poussé la poignée et la porte c'est ouverte dans un grincement.
L'aire me frappa le visage, encore une fois.
Et je tombe, sur la terre et me peau d'herbes sèches, une douleur dans le ventre.
Il ma eu.
Ce grand bras noir, ce tentacule, qui me transperce de tout mon corps et de toute mon âme.
Je suis fini.
VOUS LISEZ
Creepypasta. [ Réecriture ]
Fanfiction[ Creepypasta fiction ] Cela fais 15 ans que j'erre sans buts sur la planette que nous considérons comme notre maison. Mais, suis-je vraiment a ma place ici? J'aimerais partir, un endroit ou toute mes pensées, toute mes idées noires comme blanches...