chapitre 1 [réecrit]

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«-N'oublie pas. Demain je t'attend dans la forêt à l'endroit habituelle.»

Mon réveil sonnait, d'un bruit beaucoup trop sourd pour moi. Mes yeux s'ouvrirent et alors que je devrais l'éteindre je le laissa sonner jusqu'à que la sonnerie me tape sur les nerfs et que je brandis mon points, pour qu'il aplatisse le bouton. Alors que en regardant l'heure les gens normaux verraient six ou sept heures du matin, moi je voyais onze heure du soir. Pourquoi me demanderais vous? Et bien ce soir, j'ai prévue de comme à mes habitudes le samedi soir, rejoindre mon amie Justine, pour -vous allez me prendre pour une folle naïve- allez voir si nous pouvons trouvées des pages dans la forêts pour invoqué ce que l'ont appel le "Slenderman". Je ne m'était pas déshabiller ce soir là pour ne pas perdre de temps et directement prendre mon sac et sortir part la terrasse.
La ville était déserté de populations, la nuit, l'ambiance change, les rue ne sont plus surchargés de foules qui partent au travaille ou de voitures qui klaxonnent car les personnes à l'intérieur sont en retard ou sont pressés. Non la c'était calme, les seules personnes que l'ont croisé quelque foies sont les alcooliques qui déambule en ce tenants au murs pour ne pas tomber, ou alors les jeunes qui sortent de fête et qui sont la plupart de temps eu aussi bourrés. Je me diriger vers la forêt et je suivait le chemin qui avais était fait à force d'avoir piétiné les herbes ou les racines d'arbres. Justine m'attendais au pieds de la balançoire qu'on avait réussi à mettre en place avec le reste du bazar qu'on avait mis ici pour "marquer notre territoire". Elle m'a souris et ma tendu ce qui était devenue pour nous le matériels habituelles, Une lampe torche, une caméra car il en faut une, ça fait parti du mythe après tout et de grosse vestes pour ce protégés du froid. Elle m'a souris et nous nous somme mises à marchés côte à côte. Nous discutions comme de simple adolescentes iraient au lycée.
Depuis longtemps déjà j'avais perdu l'espoirs de rencontré ce personnage mythique de l'Internet, mais Justine elle, comme une enfant qui crois au prince charmant, ne perd pas espoirs. Puis après réflexion on prend quand même de gros risques, imaginé vous, ce personnage existerait, à force de le cherchés on pourrais finirent par mourir toutes les deux dans d'atroce souffrance ou alors il nous poursuivrai et nous n'oseront plus jamais quitter notre lit jusqu'à nos 70ans.
Je la suivais toujours de près alors qu'elle contournait chaque arbres, chaque banc, ou encore qu'elle passer pour la huitième foies devant les conteneurs abandonnés. Elle allais toujours en dernier près de la grande cabane qui avait était abandonnés, comme toute les choses ici, mais qui était trop fébrile pour être habité ne serait-ce que de trois chats. Mais comme d'habitude il se trouver juste une chaise cassée et un vielle couvertures sur le dossiers de celle-ci.

«-Lucia! Regarde ça!»

Je m'était retourné et à ma grande surprise il y avais ce qui ressemblais à des toilettes publique. Pourtant nous avions fait cette forêt de jour comme de nuit plusieurs foies et nous ne somme jamais tomber sur cette petite maisonnette blanche. La tête la première, Justine et rentré dedans et inconsciemment je l'est suivît. Nous avons traversé des couloirs et des salles. Cet endroit était plus grand qu'il ne semblais l'être de l'extérieur. Je rester derrière Justine, car je ne me sentais pas à l'aise ici, j'avais plus peur que l'on ai pénétré dans un endroit interdit et qu'un garde ou que la police nous trouve et appellent nos parents que de me retrouver face à face avec un montre humanoïde sans visage. Justine tenais la caméra d'une main ferme, ce qu'elle ne faisait jamais. Elle a peur et ça ce voyait. Je me moquait intérieurement d'elle mais extérieurement je me contentait de la suivre.

«-Justine, ça fait trois fois qu'on passe par ici. Il n'y a rien, sortons.
-Mais tu crois que je cherche quoi depuis toute à l'heure? Je ne trouve pas cette foutue sortie!»

Elle était apeuré du fait que l'ont tournées en rond et que visiblement nous, nous étions perdues. J'avais pris la caméra en main et j'était passer devant, elle m'avait dévisager et avais mis ses main dans ses poches d'un air boudeur alors que je continuer de marcher. J'avais pris le chemin inverse qu'elle avais choisît. Notre pas c'était ralentit et je sentais qu'on était restaient plus tard que d'habitude et Justine me le confirma en regardant son téléphone qui affiché 3h47 du matin. Nous nous étions mises d'accord et sans échanger un seul mot, elle avais compris le message et elle a essayé d'appeler sa mère mais il n'y avais visiblement pas de réseau. Nous n'avions alors qu'une seule solution, continuer de chercher car il était hors de question de passer la nuit ici.

«-Lucia, j'en ai marre, on peut faire une pause?»

J'avais acquiescé et nous somme rentrées dans une salle qui avais pour seul habitations des tags et de vielles armoire. Elle a insisté pour que l'ont ce couche derrière une armoire ou même dedans et nous avions finis toutes les deux dans une armoire asser grande pour que l'ont ce sentent à peine toutes les deux serré. Nous avions laisser la porte ouverte de la salle et nous nous somme misent a regrettaient car les deux porte de l'armoire laissaient un petit espace qui laisser comme par hasard de quoi voir la porte ouverte et le bout de couloirs qu'ont voyais et avec Justine, aucune de nous deux n'osaient retiré sont regard de la porte. Elle avait finit par poser sa tête sur mon épaule et au bout de ce qui me semblait une éternité, de petits ronflement s'échappaient de ses lèvres.
4h28.
Le temps passer beaucoup trop lentement et je voulais sortir d'ici, mais la peur avais pris possession de mon corps et je n'osais plus faire un geste. J'avais finis par somnolé, jusqu'à entendre un bruit. Un bruit de pas. Et la, j'ai commencé a hésité, était-ce mon imagination, ou alors nous n'étions pas seules? Je me mis à douté fortement. Je posa ma tête sur celle de Justine et je ferma les yeux moi aussi.
Puis, il y eu un autre bruit de pas.
J'ai enfin eu la confirmation.
Nous n'étions pas seules, et ont devaient sortir d'ici le plus rapidement possible.
J'ai secoué Justine jusqu'à qu'elle ce réveille, je n'est pas voulus la faire paniqué alors je lui ai juste dit qu'ont devais partir.
4h56.
C'etait trop long.
J'avais repris la caméra et l'avis rallumé. Justine tenais sa lampe et nous marchions doucement. On avais continuer de marcher et à chaque tournants, j'avais peur de tomber nez à nez avec quelque-un. Mais à chaque foies il y vais juste un couloirs avec des portes.
Je crus mourir de soulagement quand j'aperçue le petit panneaux "sortie" au dessus d'une porte et alors que j'ouvrais cette porte, un courant d'air frais frappa mon visage. Et les arbres firent leurs apparitions.

«-Justine! On est enfin sortie!»

Je n'obtenue aucune réponse. Et quand je me suis retourné, il n'y avais aucune traces de Justine.
Elle avais disparue.
Nan, c'était impossible, à quel moment j'ai perdue ça trace? Pourtant jusqu'à cette porte, j'entendais ses pas qui me suivais de près. Elle était la.
Je ne savais pas quoi faire, devais je retourné là dedans et aller chercher Justine ou attendre qu'elle me rejoigne?
J'ai compris mon choix quand j'ai fermer la porte derrière moi et que je ne sentis plus aucun courant d'air. J'était rentrée, encore une fois.
J'avais abandonné la caméra cette fois-ci et j'ai pris mon téléphone pour m'en servir de lampe.
5h34.
Je marchais dans les couloirs et quelque fois je chuchotais un petit "Justine" mais on ne me répondais jamais. Je m'enferma dans la première pièce que je trouva quand j'entendis encore ce même bruit de pas, mais cette fois-ci, il était en continu. C'était peut être Justine, alors je devais sortir. Je ne sais pas comment mais j'ai pris mon courage à deux main et j'ai ouvert la porte, et j'ai commencer à suivre le bruit de pas. Oui, j'ai suivis ce bruit.
5h58.
Je suivais toujours le bruit, mais il me semblait un peu plus proche. Je continuais désespérément à le suivre, je le sentait proche et éloigné en même temps, puis je ne perçu plus aucun bruit. Je me retourna par réflexe, mais il n'y avais que les couloirs et les quelques portes. Alors je continuais d'avancer, et je vue oui je vue enfin de la lumière, elle ne bouger pas, et je pouvais penser que Justine c'était arrêter dans une salle et qu'elle avais laisser la porte ouverte. Alors je m'avançais doucement et je passa délicatement ma tête dans l'entre bâillement de la porte.
6h00.
Il n'y avais plus de Justine. Il n'y en aurait plus jamais. Son corps était étaler au centre de la salle. Du sang recouvrait le sol et les murs. Je voulais partir en courant, vers la sortie, partir et ne plus jamais revenir mais à la place de ça, j'ai pénétré la salle où reposer mon amie. Je ne penser plus à rien juste à elle, je regarder son corps étaler sur le sol. Sa poitrine c'était transformé en trou béant, et je maudit le malade qui avait fait ça.
Mais je ne perdais pas espoirs.
6h11.
Justine et la, sur mon dos, son sang coule sur mes vêtement et ma peau, je l'est recouverte de ma veste et dans un élan fatigué, je traverse les couloirs dans le sens inverse en attendants de revoir le petit écriteau qui m'indiquerais que tous serais fini.
Je ne suis pas une héroïne de film d'épouvante, non, j'ai l'entablements échouer, je suis tomber à bout de force au milieux de c'est interminables couloirs et je me suis blondis contre mon amie en pleurnichant. Je savais qu'après tous, c'était la fin.
La fin pour nous.
Et je m'endormis.

Creepypasta. [ Réecriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant