Chapitre 39

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Environ une heure plus tard je me gare devant une maison. Les fenêtres sont barricadées. Visiblement je suis au bon endroit, sa maison est assez reculée, pas réellement d'habitations autour.


Ouai apparemment il aime pas trop avoir de la visite mais malheureusement pour lui je suis pas venu seulement pour ça.


Sa voiture est garée juste devant donc je suppose qu'il est ici. J'enfonce donc la porte d'un coup de pied et celle-ci vole plus loin dans la maison. Pas très solide tout ça faudrait qu'il pense à revoir ses « protections ».


J'entre dans la maison, me dirige dans ce qui semble être le salon. Je vois un homme assis dans le canapé en face de moi une arme pointer droit dans ma direction.


Homme : qu'est ce que vous me voulez ?! ,Cria-t-il.


Il ne pouvait pas réellement me voir tout ce qu'il voyait c'était une silhouette noir dissimuler dans l'obscurité.


Je lance un couteau dans un de ses avant bras ce qui fait qu'il lache son arme en hurlant de douleur.


Ensuite je m'approche de lui, il pouvait donc clairement apercevoir mon visage,masqué bien entendu, et tout le reste.


Moi : tu sais qui je suis ?


Il me regarde en fronçant les sourcils puis ensuite son regard s'éclaircie.


Homme : l'éventreuse...son arme...

Moi : bien...je suppose que tu connais la raison de ma venue.


Il colle son dos contre son dossier en se tenant le bras tout en grimaçant de douleur.


Homme : j'ai rien à dire ! ,dit-il en grimaçant de douleur.

Moi : mauvaise réponse.


Je lui plante un autre couteau dans la jambe, il hurle.


Moi : je reformule la question, as-tu des informations à me donner concernant le docteur ? ,Dis je en plaçant mon visage en face du sien.

Homme : vas te faire foutre !


Je soupire.


Moi : bon...


Je sort une de mes dagues et lui tranche l'oreille droite. Il crie à plein poumons.


Moi : ce qui va se passé ce que je vais te découper vivant, morceaux par morceaux si tu ne me dis pas où il se trouve. Et tu sais que j'en suis capable. •je le chope par les cheveux•

Homme : si je parle il me tuera de toute façon !

Moi : sauf que si tu parle pas je te tuerais aussi.

Deux coeurs meurtris ....Où les histoires vivent. Découvrez maintenant