- Je veux un avocat ! Exige l'avorton devant moi.
- Tu exiges ? Dis-je en rigolant. Avec Sakura aussi, tu exigé de lui faire toutes ses horreurs ?
- Ah si vous saviez. On a bien rigolé. Me répond-t-il en rigolant.
- Rigolé ! Lui crache Karin. C'est vrai elle a l'air de bien rigoler sur ses photos. Elle lance les documents devant ses yeux.
- C'était notre façon de nous éclater au pieu. Il avait dans son regard quelque chose de mauvais.
- Quand as-tu commencé ? Et pourquoi ? Commence à questionner ma collègue.
- Tu sais ! Commence-t-il. Tu es plutôt pas mal toi aussi. Si tu veux... Je peux te faire la même.C'était trop pour moi. Je recule ma collègue et la place derrière moi, pour la protéger.
J'avais l'image de Sakura devant les yeux.
Comment je l'avais retrouvé, dénudé, détruire physiquement et psychologiquement.
J'ai senti les os de son corps quand je l'avais dans les bras.Et lui, il ose en rigolé ?
Je l'attrape par le col de son chemisier, le rapproche très près de moi, tellement près que le rouge de ma cigarette aurait pu le brûlé. Et j'avoue que l'idée m'avait traversé l'esprit.
Peu m'importe si je dois lui briser les os pour le faire parler, je le ferai. Je ne suis pas un enfant de chœur après tout, je n'ai jamais eu pitié des monstres comme lui, alors si je dois le briser, je le ferais.
Et puis de toute façon, il ne mérite aucunement la clémence.
Il mériterait bien pire. Et une fois derrière les barreaux, je ferais en sorte, qu'on s'occupe bien de lui.- Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins, espèce de connard. Tu vois il y a les preuves, elle était chez toi, enfermer, il va y avoir prélèvement, et surtout bientôt son témoignage. Je lui crache de nouveau m'a fumée. Alors, tu as deux solutions ! Soit, tu parles maintenant et on trouvera un arrangement ou sinon...
- Sinon quoi ?Je me retourne, tout en relâchant violemment l'avorton, pour faire face à son avocat, Orochimaru.
- Bonjour maître ! Je le salue tout aussi froidement que ma voix le pouvait.
- Bonjour ! L'interrogatoire est fini. Me dit-il sûr de lui.
- Pas de souci. Je hausse les épaules tout en me dirigeant à la porte. Nous avons toutes les preuves. Il ira en prison pour un long moment.
- Je veux m'entretenir avec mon client.
- Faite donc. Notre procureur arrive. J'allais ouvrir la porte quand Temari entra.
- Je suis là. Bonjour Madara, Karin, Maître. Salut Temari, tout en déposant sa mallette sur la table. Bien ! Nous commençons ?Temari était cette femme de grande classe. Puissante, intelligente, elle n'a jamais perdu aucun procès, spécialisé dans le domaine de la violence conjugale ainsi que celle faite aux enfants. Elle arrive toujours à ses fins. Ce n'est pas pour rien si elle fait partie des personnes les plus sollicitées.
Une conversation entre Temari et Orochiramu débuta.
C'était une évidence, Inuzuka, ne sortira pas demain, n'y même les jours à venir d'ailleurs.
Il allait croupir à l'ombre pendant un bon moments.Et son avocat l'avait bien compris lui aussi.
*
De l'autre côté, à l'hôpital de Konoha, dans une des nombreuses chambres, une jeune femme fini par ouvrir les yeux.
Clignant plusieurs fois ses yeux couleurs émeraudes, pour s'habituer à la lumière du jour, elle ne reconnut pas les lieux.
- Hmm ! Elle se tenait la tête, avant de s'apercevoir qu'une main enlacée la sienne. Sasuke ? Dit-elle dans un soupir.
- Sakura ? Commence-t-il. Sakura ? Re dit-il étonner. Enfin ! Il sera son amie dans ses bras avant de courir chercher un médecin. Un médecin vite.
- Oh ! Bienvenue parmi nous mademoiselle Haruno. Commence la médecine qui venait de rentré dans la chambre, avec un sourire bienveillant. Je suis Tsunade la chef de la clinique. Comment vous sentez vous ?
- Euh... Je ne sais pas trop. Étourdi, confuses et, j'ai mal dans tout mon corps.
- C'est normal. Dit-elle en souriant. Est-ce que tu sais où tu es ?
- Non ! Elle regarde autour d'elle. Mais je ne comprends pas comment je suis arrivé ici ?
- Tu as été retrouver par la police. Commence Sasuke. Madara va venir te voir, il va te poser des questions.
- Est-ce que vous avez des souvenirs ? Demande Tsunade.
- Malheureusement, Oui ! Répond la victime en baissant la tête.
- Vous n'y êtes pour rien dans cette histoire. Tsunade lui prend la main. D'accord? Nous sommes ici pour vous maintenant. Réconforte la médecin.
- Oui, merci.
- Bien, Mademoiselle Haruno, je vais devoir vous faire des analyses. Ainsi qu'un kit de viol.
- Non ! Je ne veux pas. Elle se mit à trembler de panique.
- Calme-toi Sakura. Il faut absolument faire le nécessaire. Et puis je suis là. Lui dit Sasuke.
- Je... Elle était tétanisée, dans ses yeux, il n'y avait que la terreur.
- Écouter, si cela peut vous rassurer, je m'occuperai personnellement de vos examens. Il n'y aura que moi qui vous verra. Que moi qui vous toucherai, personnes d'autre. Et si la présence de votre ami vous rassure, alors il pourra y assister également. Je vous promets de ne rien faire sans votre accord, mademoiselle.
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Jolie petite fille ! (Madara-Sakura)
Фанфик*-J'avais juste l'espoir qu'un jour, juste un jour, je serais heureuse ! *