🕊️Mon ennemi🕊️

13 1 0
                                        

"Je croyais n'avoir nul ennemi dans mon sillage... Hélas, j'en avais un. Ni visage, ni voix : c'est l'ignorance qui me fait front, non mon prochain .Car la véritable bataille ne se joue pas entre êtres humains, mais entre l'ombre du savoir et la lumière de la conscience."

Mr EDNES STARR .

Je me croyais libre de toute haine, Mais l'ennemi rôde sans nom, sans chaîne. Il ne vit pas parmi les hommes, mais dans leur absence de lumière. Ce spectre invisible s'appelle Ignorance, Et c'est elle qui freine le vol de mon esprit.

ELHADJ MAMADOU OURY BAH.

Je l'ai vue s'infiltrer dans les silences, Comme une brume qui endort les consciences. Elle m'a freiné, fait douter, m'a fait oublier... Que le savoir est une flamme, et qu'il faut l'alimenter.

Mais je me lève, je crie, je marche en lumière, J'écris pour réveiller ceux que l'ombre espère. Mon prochain n'est pas mon adversaire, Il est ce miroir qui me rappelle d'être sincère.

,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,

J'ai tendu l'oreille aux silences du monde, Mais c'est dans mes propres mots que j'ai trouvé la réponse profonde. Je ne lutte pas pour dominer, mais pour éclairer, Je ne cherche pas à convaincre, je veux éveiller.

L'ignorance nous divise, elle nous fait oublier l'essence, Mais le savoir est contagieux, quand il sème la bienveillance. Alors j'écris, je déclame, je fais trembler les murs, Que chaque page devienne flamme, que chaque vers soit une armure.


                                                                                                       

🔥 Là où mes mots prennent vie – Tome 2Mon ennemi

🖋️ par Mr EDNES STARR (ELHADJ MAMADOU OURY BAH)


 Prologue — L'éveil

J'ai longtemps tendu l'oreille aux silences du monde. Des silences feutrés, denses, parfois lourds comme le ciel avant la pluie. Mais c'est dans mes propres mots que j'ai trouvé la réponse profonde — Non pas dans le vacarme des certitudes, mais dans la lumière discrète de l'introspection.

Je ne lutte pas pour dominer, Je marche sans glaive, sans orgueil. Je marche en lumière. J'écris non pour convaincre, Mais pour éveiller — ceux que l'ombre espère.

🔚 Épilogue — Le dernier mot

Et lorsque les murs ont cessé de trembler, Que le silence n'était plus une prison mais un lieu de paix, Je me suis retourné sans colère, sans amertume. J'avais écrit. J'avais éclairé. Non pour vaincre, mais pour faire naître.

Mes mots resteront — comme une lumière discrète dans l'obscurité des doutes, comme une flamme que d'autres raviveront, comme une armure invisible pour ceux qui rêvent encore.

Alors j'ai refermé mon carnet. Pas parce que l'histoire est finie, mais parce que le prochain mot appartient à ceux qui lisent.


Là où mes mots prennent vie ( Tome 2) .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant