Bah Oury Binta 🇬🇳🇨🇵 :
La confiance, c'est ce ciment invisible. Celui qu'on ne voit pas, mais qui tient tout ensemble. C'est elle qui transforme un groupe en équipe, et une équipe en victoire.
Venir ensemble, c'est un commencement. Rester ensemb...
Encore une de mes story, Encore une femme que je veux, que je poursuis sans bruit. Elle, elle est différente — elle est sexy sans effort,
Son regard me cloue, sa voix me transporte. J'ai toujours voulu être avec elle, Pas juste pour la beauté, mais pour ce feu éternel. Ce truc inexplicable qui fait battre le cœur trop fort, Quand elle entre dans la pièce, tout le monde est dehors. On se croise, on se frôle, on se parle à moitié, Des silences pleins de promesses qu'on n'ose effleurer. Je suis là, chaque jour un peu plus accroché, A l'idée qu'elle pourrait m'aimer, me chercher. Elle est celle que je voulais, que j'attendais sans le dire, Mon inspiration, ma folie, mon pire et mon plaisir. Et même si c'est encore flou, même si elle l'ignore, Cette histoire brûle en moi, et moi j'y crois encore.
Épisode 2 : Celle que je voulais, mais qui brûle
Elle passe, elle me frôle, elle me connaît, Mais joue avec mes nerfs comme une reine damnée. Son parfum est une menace douce, Chaque sourire, une blessure qui pousse. Je voulais juste être avec elle, sans détour, Mais elle, elle danse entre l'envie et le faux amour. Elle sait que je la veux, elle s'amuse, elle rit, Et moi je m'enflamme dans ses silences bénis. Sexy, oui, mais c'est sa puissance qui m'écrase, Elle parle peu, mais ses yeux me fracassent. J'ai rêvé d'elle mille fois, sans sommeil, Et chaque nuit je me perds dans son éventail. Des messages laissés en "vu", Des attentes, des appels jamais reçus. Mais c'est elle que je veux, que je poursuis, Même si elle me consume, même si elle me détruit. Car cette femme-là n'est pas à aimer gentiment, Elle est poison, elle est ciel et tremblement. Et moi, comme un idiot, je veux tout boire, Même si son amour m'éclate comme un miroir.
Épisode 3 : Celle que je voulais, mais elle m'a mis à genoux
Elle m'a regardé comme on regarde un feu — intense, Puis elle m'a laissé brûler sans défense. Moi, j'étais prêt à tout donner, à tout vivre, Mais elle... elle était là juste pour survivre. On s'est croisés entre passion et malentendu, Elle savait séduire sans jamais être attendue. Quand je l'appelais, elle répondait par des silences précieux, Et moi je déraillais, cœur creux, yeux fiévreux. Un soir, elle est venue — robe noire, talons qui claquent, Elle m'a dit "Fais-moi rêver" en souriant, bien en vrac. Je l'ai aimée comme on aime une étoile filante, Mais elle, elle n'était qu'un orage flambant. Nos corps se sont cherchés, c'était sauvage et vrai, Mais au réveil, elle était déjà loin, sans regret. Juste une trace de parfum et un mot sur le miroir :"Tu m'as aimé trop fort — j'ai préféré partir dans le noir. "Et moi ? Moi j'écris cette story comme un adieu brûlant, Encore une femme que je veux, mais qui file en courant. Peut-être qu'un jour elle lira ces vers en passant, Et comprendra qu'elle était celle... celle de mon tourment.
Épisode final : Celle que je voulais... mais je me suis choisi
Elle m'a laissé à genoux, le cœur vidé, Mais j'ai pris ma douleur, j'en ai fait une armée. J'ai pleuré dans des ruelles pleines de regrets, Puis j'ai hurlé mes silences pour ne plus jamais plier. Elle, elle brillait... mais moi je brûlais, Et à force de vouloir, je me suis oublié. Mais le manque n'est pas éternel, Quand on ouvre les yeux sur ce qui est réel. Alors j'ai écrit, j'ai crié, j'ai marché, Pas pour la reconquérir... pour me retrouver. Elle était celle que je voulais, c'est vrai, Mais parfois l'amour c'est apprendre à s'aimer. Le feu en moi n'est plus pour elle, Il éclaire mes vers, il sculpte mes nouvelles Et même si son souvenir reste tatoué, Je suis libre, je suis vivant, je suis relevé. Cette story, c'est celle d'un cœur brûlé puis reconstruit, Un homme qui voulait aimer... et qui a choisi la vie Alors je claque ce dernier mot comme une porte qu'on referme :_Encore une de mes story... mais cette fois, je me tiens ferme._
THE END
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