Là où mes mots prennent vie ( Tome 2) .

Double Identité inspiré de Raymond Reddington

Double Identité inspiré de Raymond Reddington.

Partie I  Par Ednes Starr 🕊:

Un homme ne peut pas répondre à deux noms... Mais il peut porter deux vies, Deux histoires, deux vérités qui s’annulent et s’embrassent.

Tu me connais sous un nom, Mais tu ne sais rien de l’autre. Celui qui a aimé, perdu, trahi. Celui qui a tout brûlé pour protéger une flamme fragile.

On croit que le pouvoir c’est de commander… Mais c’est de survivre sans se faire démasquer.

J’ai une valise pleine de regrets, Et un cœur trop fatigué pour aimer encore. Je suis l’homme qui parle en énigmes Parce qu’aucune vérité ne m’a jamais sauvé.

Tu vois mon costume, ma voix posée, mes alliances… Mais tu ignores le prix à payer Quand ton identité devient une arme.

Je ne suis ni innocent, ni coupable. Je suis le produit de mes choix. Et chaque faux nom m’a sauvé Alors que mon vrai nom aurait signé mon arrêt.

Un homme ne peut pas répondre à deux noms… Mais parfois, c’est le seul moyen de rester en vie.

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Double Identité — Partie II 🕊 Par Ednes Starr 🕊:

On m’appelle par un nom… Mais ce n’est pas le mien. Le mien est enfoui dans les cendres d’un passé Que même le feu refuse d’éclairer.

Chaque mot que je dis est codé, Chaque pas calculé. Je suis un pion devenu maître Dans un jeu dont personne ne comprend les règles.

Tu crois que j’ai choisi cette vie ? Non. Elle m’a choisi, m’a sculpté, m’a brisé… Et maintenant, je l’habite.

Je suis deux hommes dans un même corps, Deux destins qui s’opposent, Deux vérités qui s’annulent. Et dans cette guerre intérieure, Je suis le seul survivant.

Quand je souris, c’est pour cacher l’alerte. Quand je parle, c’est pour éviter le cri. Et quand je me tais, C’est que j’ai trop dit sans dire.

Mais personne ne me connaît. Pas vraiment. Ils aiment le personnage, Ils respectent le masque… Mais ils ignorent le prix du rôle.

Un homme ne peut pas répondre à deux noms, Mais parfois, C’est le seul moyen… De ne pas disparaître.

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Parties III:

L’Amour qu’on n’a pas le droit d’avoir:

Elle est là, quelque part, Dans un souvenir qui refuse de mourir. Mais dans ma réalité, elle m’est interdite . Son cœur appartient à un nom que je ne peux plus être.

J’ai deux visages… L’un qu’elle a aimé, L’autre qu’elle ne doit jamais connaître. Et moi, je navigue entre les deux Comme un fugitif dans son propre corps.

On dit que l’amour vrai ne ment pas, Mais quand on vit dans l’ombre, Chaque “je t’aime” est un risque, Chaque regard est un piège.

Je lui parle en silence, Je l’approche en distance. Et même quand elle sourit, Je sens que ce sourire n’est pas pour l’homme que je suis devenu… Mais pour celui que j’ai dû enterrer.

J’ai changé de nom, Mais pas de cœur. Et ce cœur, Il bat pour elle.

Mais aimer en cachette, C’est comme écrire un poème à la craie sous la pluie : Beau, fragile… éphémère.