J'ai troqué mes besoins pour des flammes, Celles qui dansent sans feu, sans drame. Je ne veux plus manger, je veux goûter l'air, Cueillir les silences, marcher sans repère.
Mon corps réclame peu, mon cœur réclame trop, Des regards qui chantent, des matins qui flamboient. Je cherche l'inutile, je caresse l'instant, Là où l'envie devient cri éclatant.
Et si l'absence nourrit, moi je veux le trop-plein — Le frisson d'exister sans demain. Je déshabille les verbes, j'invente ma langue, Où l'envie parle, où le besoin se tangue.
VOUS LISEZ
Là où mes mots prennent vie ( Tome 2) .
PoesíaBah Oury Binta 🇬🇳🇨🇵 : La confiance, c'est ce ciment invisible. Celui qu'on ne voit pas, mais qui tient tout ensemble. C'est elle qui transforme un groupe en équipe, et une équipe en victoire. Venir ensemble, c'est un commencement. Rester ensemb...
