Le frein de l'homme, c'est le souffle du divin, Sans Lui, nos pas glissent sur l'asphalte du chagrin. Le monde hurle, les cœurs flanchent, l'ombre gagne du terrain, Et l'espérance se noie dans des océans incertains.
Mais Sa parole, C'est l'encre qui recoud les âmes déchirées, Une lumière dans les ruelles oubliées, Un silence qui apaise les cris intérieurs, Un feu doux, qui réchauffe la douleur.
Sans elle ? C'est le chaos, Le vacarme dans le cerveau, Des promesses qui s'effacent dans des ciels trop bas, Et une mélancolie qui danse quand il n'y a plus de choix.
Quand l'âme titube sur les dalles de l'absence, Et que le monde te regarde sans une once de décence, Tu cries sans bruit, tu parles sans voix, Tu cherches le ciel, mais il ne te voit pas.
Alors tu te rappelles... D'un vers, d'un souffle, d'un feu sacré, D'un livre qui parle quand tout a cessé, Le Coran — pas juste un texte, c'est un cri d'amour, Une corde suspendue dans les nuits sans retour.
Il te tient. Il te freine quand la haine te pousse, Il t'apaise quand le cœur s'émousse, Et dans ce chaos, il redessine l'étoile, Pour que tu marches, fier, sans perdre le voile.
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Là où mes mots prennent vie ( Tome 2) .
شِعرBah Oury Binta 🇬🇳🇨🇵 : La confiance, c'est ce ciment invisible. Celui qu'on ne voit pas, mais qui tient tout ensemble. C'est elle qui transforme un groupe en équipe, et une équipe en victoire. Venir ensemble, c'est un commencement. Rester ensemb...
