avertissement : cochonnerie, femdom, moqueur, sexe non protégé
Comment décririez-vous Atsumu ? C'était un joli garçon confiant et flirteur. Le fait qu'il soit maintenant le passeur officiel des MSBY Jackals n'a fait que renforcer son ego. Ce que les gens ne savaient pas, c'est que lorsqu'Atsumu était seul avec vous, il était une personne différente. Eh bien... ce n'était pas tout à fait vrai. C'était encore un joli garçon. Il se trouve que c'était un joli garçon qui pleurait beaucoup à huis clos.
"S'il te plaît, tu me tues" gémit Atsumu, enfonçant ses hanches dans ta paume. Vous pouvez sentir à quel point il est douloureusement dur à travers son boxer, mais vous ne voulez pas encore soulager sa tension. Vous n'avez pas encore obtenu ce que vous vouliez.
Voir le regard impitoyable sur votre visage fait gémir Atsumu encore plus fort. Il aurait essayé de prendre soin de lui mais vous aviez les mains liées sur la tête. Atsumu est donc obligé de rester allongé là, impuissant, en sous-vêtements uniquement, alors que vous êtes assis à côté de lui sur le lit, entièrement habillé.
La frustration commençait à l'atteindre et Astumu pouvait sentir les coins de ses yeux se contracter alors que vous continuiez à le taquiner, faisant légèrement glisser vos ongles le long de la tente que sa queue avait formée. Il faisait tout ce qu'il pouvait pour retenir les travaux d'approvisionnement en eau, à votre grande déception. "C'est bon bébé, laisse-le sortir. Je sais que tu veux » tu roucoules.
Avec un autre tremblement de sa lèvre, Atsumu n'en peut plus. Des larmes commencent à couler sur ses joues alors qu'il devient de plus en plus désespéré. "Je t'en supplie. Faites quelque chose ! N'importe quoi !" Atsumu sanglote.
C'est peut-être cruel que vous ayez autant de plaisir à voir ce côté de lui, mais il est tellement adorable avec ces yeux gonflés et ces joues rouges. Satisfait de sa supplication, vous finissez par avoir pitié de la blonde. Essuyant une larme sur sa joue droite avec votre pouce, vous embrassez une autre gouttelette sur son côté gauche. "C'est bon bébé, je vais m'occuper de toi" promets-tu avant de déposer un autre tendre baiser sur ses lèvres cette fois.
Reniflant, les yeux brillants d'Atsumu regardent alors que vous libérez sa bite de ses liens. Jetant sa tête en arrière, des soupirs et des grognements de soulagement tombent des lèvres d'Atsumu alors que vous le prenez dans votre main et donnez quelques pompes à sa bite dans le besoin. "Est-ce que ça fait du bien bébé?" demandez-vous en parsemant des baisers le long du cou d'Atsumu, mordillant et suçant occasionnellement sa peau. Se mordant la lèvre, tout ce qu'Atsumu peut rassembler est un hochement de tête. Il peut sentir votre sourire narquois contre sa clavicule avant de fredonner. "Mon adorable petit pleurnichard".
"N-pas un pleurnichard" gémit Atsumu mais son visage encore taché de larmes dit le contraire. C'est un mensonge évident mais vous n'êtes pas satisfait de ce moment de défi. Lâchant sa longueur, vous vous éloignez de la mâchoire d'Atsumu pour lui donner un regard sévère. La perte de contact le fait gémir. « Ne t'arrête pas ! Je suis désolé, d'accord ? Je-je suis un grand pleurnichard. Tu pleurniches ».
"Les gosses ne méritent pas de jouir 'stumu" vous éblouissez.
Sachant qu'il a merdé, Atsumu hurle. Une fois de plus, il vous demande de le faire se sentir bien. Alors qu'il s'excuse, les travaux d'eau reviennent. Vous n'aviez aucune idée qu'Atsumu était capable de produire autant de larmes jusque-là. Il pleure tellement qu'il en devient presque essoufflé. À travers la toux et la respiration sifflante, Atsumu jure qu'il ne sera plus un morveux et vous êtes enclin à le croire sur la base du petit spectacle qu'il vous a donné.
"D'accord, on peut continuer mais tu ferais mieux d'être bon ou je te laisse avec des boules bleues" me menacez-vous. C'est suffisant pour faire hocher frénétiquement la tête d'Atsumu en retour. Il va se comporter, peu importe comment vous l'appelez.
Atsumu pense que tu vas recommencer à le caresser avec ta main mais à sa bonne surprise tu commences soudainement à te déshabiller. Quand vous êtes aussi nue que lui, vous rampez sur le blond pour pouvoir planer au-dessus de sa queue tremblante. En vous abaissant lentement sur lui, vos bouches et celles d'Atsumu s'ouvrent à la sensation qu'il vous étire. Si Atsumu était autorisé à avoir confiance en quelque chose, c'était définitivement sa taille.
En vous donnant un moment pour vous ajuster, vous finissez par commencer à balancer vos hanches. Pour environ la centième fois cette nuit-là, Atsumu pleure, mais pas parce qu'il est dans le besoin, mais parce que c'est à quel point tu te sens bien. La façon dont vos murs serrés se convulsent autour de lui est si délicieuse qu'elle le laisse pleurer. En vous penchant pour lécher la coquille de son oreille, vous chuchotez à l'homme pathétique en dessous de vous. "Tu es si mignon comme ça, tu sais ?".
La seule réponse que vous recevez est un gémissement étouffé et la sensation de la bite d'Atsumu qui se contracte à l'intérieur de vous. Il est si proche et une chaleur familière se forme dans votre propre estomac. En accélérant votre rythme, vous commencez à rebondir sur la bite d'Atsumu si vigoureusement que cela vous fait mal à tous les deux de la meilleure façon possible.
"'stumu 'm so close" vous insultez alors que les yeux d'Atsumu roulent à l'arrière de sa tête. Vous êtes le premier à vous défaire. Votre libération coule sur la bite d'Atsumu et imbibe ses couilles. Bien que vos jambes soient comme de la gelée maintenant, vous avez l'impression d'avoir trop fait subir à Atsumu. Pas besoin de s'arrêter jusqu'à ce qu'il ait fini et heureusement son orgasme le frappe peu de temps après le vôtre. Des giclées de son propre sperme jaillissent, peignant vos entrailles de blanc.
Épuisé, vous vous effondrez sur la poitrine d'Atsumu dans un ajustement de pantalon. Vous êtes sur le point de vous endormir sur-le-champ, mais vous regardez son visage et voyez à quel point il est désordonné. Lui adressant un sourire compatissant, vous vous écartez de lui et allez chercher une boîte de mouchoirs qui se trouve sur la table à côté de votre lit. D'abord, vous détachez les cordes qui empêchent toujours Atsumu de bouger ses mains, puis vous essuyez la morve et la bave de lui.
"Aw, laisse-moi te nettoyer mon petit pleurnichard" tu le piques doucement sur le front pendant que tu prends soin de ton adorable petit ami.
L'envie de nier qu'il est un pleurnichard revient à nouveau sur Atsumu. De manière réaliste, vous lui avez déjà donné ce qu'il voulait pour qu'il puisse l'avoir, mais à quoi bon ? Ce serait une perte de souffle car il vous a déjà donné raison. C'était ton petit pleurnichard et s'il était honnête avec lui-même, Atsumu ne voudrait pas qu'il en soit autrement.
