Avertissements : insultes, un peu de sang, moment légèrement échauffé, angoisse/traumatisme, harcèlement
"Hé, Takemitchy!"
Vous soupirez d'amusement au nom de Mikey pour Takemichi.
Il saute et se retourne, en sueur, "A-ah... Mikey-san..."
« Comment vas-tu, Petit Mochi ? Je ne t'ai pas vu depuis quelques semaines ! Tu as souri doucement.
« Oh, ouais . Cela fait deux semaines, [Nom]. Qu'as-tu fait ?
Vous avez soupiré : « Je devais rattraper certains travaux scolaires, j'avais tergiversé depuis un moment, alors j'ai dû rattraper mon retard. »
Il rit : "C'est compréhensible, c'est facile de perdre la notion du temps, ça passe vite."
"Ouais-"
"[Naaame] parle-moi aussi ", fit Mikey en faisant la moue en posant son menton sur ta tête.
« Désolé, Manji. J'oublie à quel point tu as besoin de mon attention," ris-tu alors qu'il enroulait ses bras autour de toi. "Même si Mochi ne m'a pas vu aujourd'hui, tu l'as fait."
"Donc?" grommela-t-il.
" Donc, vous devez être juste envers les autres."
Il s'est moqué : "S'il veut tellement parler à une fille, c'est pour ça qu'il a sa petite amie." C'était hors de votre champ de vision, mais Mikey lança un regard noir au plus jeune garçon. "Takemitchy sait mieux que de t'enlever de moi, ton meilleur ami ."
La victime frissonna : « Bien... Je suis curieuse, comment vous êtes-vous rencontrés tous les deux ? Vous êtes si proches, mais vous pouvez parfois être aux antipodes... Je ne peux pas vous voir tous les deux, juste... »
Il a arrêté de vouloir dire quelque chose qui pourrait lui valoir un coup.
Vous avez entrelacé vos mains avec Mikey, fredonnant en pensant : "Comment nous sommes-nous rencontrés ?"
Retour en arrière
Quand tu étais plus jeune(10), tu n'étais pas le « garde du corps » de Mikey. Tu n'étais pas mignon mais dur à cuire comme tu l'es maintenant, tu étais plus calme, envers toi-même . Vous vous êtes concentrée sur l'école car vous n'aviez pas grand-chose d'autre à faire, vous n'aviez pas d'amis proches, mais vous étiez une fille intelligente – jolie aussi, ce qui faisait de vous une cible pour certains garçons qui pensaient que vous seriez facile ce jour-là.
Vous rentriez précipitamment chez vous, enfant, vous marchiez vite, vous précipitiez comme une souris, c'est ainsi que certains vous appelaient à l'école. Ils ont ri, mais si seulement ils savaient à quel point vous avez été courageux derrière les portes closes de votre maison, ce que vous avez conquis.
« Hé, les garçons. C'est la souris, si elle est aussi soumise maintenant, imaginez... »
Vous avez soufflé, ce ne sont que des collégiens qui essaient de trouver quelque chose à faire, calmez-vous.
L'un d'eux, dégingandé, s'est approché de vous et vous a poussé au sol : « Hé, tu penses que tu es trop bien pour nous ?
Vous vous êtes repoussé : « N-non. Ce n'est pas comme ça... c'est juste que... »
Le plus grand sourit : « Alors parle -nous un peu. »
Vous avez ri nerveusement : « Je dois rentrer à la maison, étudier... »
"Tu pourras faire ça plus tard~"
Ils ont commencé à vous encercler, tous les quatre. Tu étais coincé contre un mur, tu commençais à trembler, et tout d'un coup les garçons très sobres sentaient l'alcool, la rue est devenue le salon, les garçons se sont transformés en ton père qui avait une bouteille à la main, prêt à balancer l'autre vers toi.
