avertissements : juste duveteux !
Le café était honnêtement l'endroit idéal pour travailler pour vous. Tous vos collègues étaient super et parce que c'était un petit café et non une franchise, la plupart de la clientèle était des habitués et toujours polis. Sans oublier que vous aimiez préparer toutes sortes de cafés et de lattes.
Tout ce qui précède n'était même pas la meilleure partie de votre travail de barista. La meilleure chose qui est ressortie de votre travail qu'il vous a présenté est l'un des garçons les plus gentils qui soient.
Le changement qui a tout changé a commencé comme un autre. Akaashi était celui qui travaillait avec vous donc tout se passait bien. De tous vos collègues, Akaashi était de loin votre préféré. Non seulement il était gentil mais c'était un travailleur incroyable. Vous n'avez jamais eu à vous soucier de quelque chose qui ne va pas quand Akaashi était celui qui préparait les boissons avec vous.
Avant que tu ne le dises, non Akaashi n'était pas le garçon dont tu parlais. Il était génial et tout mais pas totalement votre type. Certes, vous aviez un faible pour les gars plus énergiques, extravertis et parfois même bruyants. Idéalement, cela décrivait parfaitement le meilleur ami d'Akaashi qui est entré ce jour-là.
« Akashi ! Une voix retentissante l'appela, faisant presque tomber la cafetière dans ses mains. Un soupir tombe des lèvres d'Akaashi comme s'il savait précisément à qui appartient la voix. De votre côté, vous êtes complètement confus. C'est jusqu'à ce qu'un jeune homme aux yeux de hibou trop excité s'approche du comptoir. "Akaashi, je suis venu te rendre visite au travail" crie à nouveau le garçon, penché sur le registre. "Hé, tu penses que tu peux me faire une de tes boissons raffinées ?".
Expirant à nouveau, Akaashi secoue la tête avant de revenir à ce qu'il faisait avant l'arrivée de l'invité. « Bokuto-san, je suis occupé à servir d'autres clients en ce moment. Vous allez devoir attendre ».
Le rejet fait la moue pour qui vous deviez présumer que c'était Bokuto. Vous n'étiez pas sûr de ce qui vous arrivait, mais tout d'un coup, vous êtes intervenu. "Peut-être que je pourrais vous faire quelque chose?" Vous avez gazouillé, ce qui a attiré l'attention de Bokuto sur vous. Dès que son regard a rencontré le vôtre, il est redevenu joyeux.
"Vraiment? Merci », répond Bokuto avec empressement. Rire, vous avez demandé s'il avait une boisson particulière à l'esprit, mais Bokuto hausse les épaules. « Tout ce que vous pensez a bon goût. Je te fais confiance".
Vous ne savez pas pourquoi, mais cela vous énerve un peu. Néanmoins, vous essayez d'ignorer la sensation de papillons dans votre estomac et commencez plutôt à préparer la boisson de Bokuto. Vous décidez de lui faire un latte au caramel, c'est assez sucré non ?
Pendant que vous travaillez, vous pouvez sentir Bokuto vous regarder attentivement. "Alors ..." Bokuto plisse les yeux à votre étiquette de nom mais il n'arrive pas à bien voir. « Vous travaillez avec Akaashi ? ».
"Yup" vous fredonnez en réponse. « Je suis [Y/N] » que vous présentez.
Les oreilles de Bokuto se redressent à votre nom. "Oh! Akaashi vous a déjà mentionné. Il m'a dit qu'il aime travailler avec toi et que tu prends ses quarts de travail quand le travail interfère avec le volleyball ». Vous ne pouvez pas le nier. Parce qu'Akaashi était un collègue si affectueux que vous n'avez pas hésité à lui rendre quelques services. "Il ne m'a pas dit que tu étais mignonne aussi".
Cette dernière partie vous fait presque vous étouffer avec votre propre souffle. La façon dont il l'a dit n'était pas nécessairement sarcastique ou coquette. D'après ce que vous avez pu voir, le compliment de Bokuto était tout à fait authentique. C'était quelque chose auquel vous n'étiez pas du tout habitué, mais le caractère adorable de tout cela faisait battre votre cœur.
Tout ce que vous pouviez vraiment réussir à dire en retour était un merci discret avant de garnir la boisson de Bokuto de crème fouettée. Après avoir apporté toutes les touches finales, vous faites glisser le latte vers Bokuto avec un sourire timide.
"Merci beaucoup. Ça a l'air super » accepte Bokuto avant d'aller boire une gorgée. Vous êtes sur le point de le prévenir qu'il fait chaud mais il est trop tard. Ce n'est qu'une légère brûlure à la langue mais vous êtes toujours inquiet car Bokuto s'évente la bouche. Finalement, il semble se calmer et quand vous savez qu'il va bien, vous éclatez de rire tous les deux. "C'est un peu trop chaud mais c'est quand même délicieux", assure Bokuto.
"Je suis content" vous lui répondez avec un sourire radieux. « Considérez-le sur la maison. N'importe quoi pour un ami d'Akaashi, un ami mignon qui est ».
Vous attrapez une forme de rougissement sur les joues de Bokuto mais vous ne le signalez pas parce que vous ne souhaitez pas l'embarrasser. Bokuto reste dans le café pour parler à Akaashi pendant qu'il est en pause mais à un moment donné il part, mais pas avant de vous dire au revoir. Ce serait mentir de dire que vous n'étiez pas un peu attristé quand il est parti. Bokuto a vraiment réussi à vous impressionner et vous auriez aimé mieux le connaître.
Le lendemain, vous vous retrouvez à travailler avec Akaashi. Vous avez jonglé avec ce que vous deviez faire la veille au lit, mais en entrant au travail aujourd'hui, vous avez décidé de demander à Akaashi le numéro de Bokuto. Il s'avère que vous n'auriez pas à le faire. Dès que vous avez émergé de l'arrière-boutique et que vous avez commencé à vous approcher d'Akaashi, il vous a tendu un morceau de papier.
"Qu'est-ce que c'est ça?" Vous avez interrogé.
« Le numéro de Bokuto-san. Il m'a demandé de vous le donner. J'espère que ça ne vous dérange pas » expliqua Akaashi, semblant un peu gêné d'être dans cette position.
À son grand soulagement, vous n'êtes pas soudainement devenu maladroit. Si quelque chose vous est venu comme complètement ravi. « Ça ne me dérange pas du tout ! Merci, je pense que je lui enverrai un texto dès la fin de mes quarts de travail ».
