Ella
On arrive dans moins d'une heure, je n'en peux plus. J'ai dormi tout le vol à cause de ma perfusion, grasse à ça, je n'ai pas vu le temps passer. Le problème, c'est ce qui me réveille, un mal de tête qui ne fais qu'empirer à chaque minute. Je n'ai absolument pas envie de revivre cette douleur juste insupportable quel produit. La douleur, est-elle que je commence à trembler, ma respiration se fait plus houleuse, ma vue se trouble. Je me lève de mon siège pour rejoindre Stéphanie qui est partie demander, je ne sais plus quoi à une Hôtesse, je ne fais à peine quelque pas que je m'écroule dans l'allée centrale en convulsent. J'entends ma mère crie mon nom avec terreur, puis Stéphanie alerté par le cri de ma mère arrive en courant ver elle pour l'empêcher de me toucher, ma mère lui hurle de la lâche, que j'ai besoin d'elle.
- Caroline calmée vous ! On ne doit pas toucher quelqu'un qui convulse ça pourrait être dangereux pour elle, je sais que c'est impressionnant à voir, mais on doit attendre que les convulsions ce calme.
- D'accord, tu peux me lâcher maintenant.
- Une crise de convulsion son généralement suivit par un évanouissement, alors je veux que tout le monde garde son calme. Il me faudra une ambulance au sol quand on aura atterri pour partir directement au New-York cancer Hospital, merci de prévenir le docteur Wilson que l'on arrive en urgence pour un scanner, dit Stéphanie avec autorité a une hôtesse de l'air.
- D'accord, je vais tout de suite prévenir les pilotes.
Mon ouïe commence à faiblir, je me sens partir. Mes yeux se ferment doucement en même temps que mes convulsions se calment. Ma main droite est subitement recouverte d'une douce chaleur reconnaissante entre mille, celle de ma mère. Je sens sa deuxième main me caresse avec douceur le haut de ma tête. Puis suivie de près par un, je t'aime chuchoter à mon oreille avant que je ne m'endorme.
Je suis réveillée avec le bruit incessant d'un bip-bip, qui est d'une puissance pour mes oreilles insupportable au point de faire revenir mon mal de tête.
J'ouvre les yeux doucement de peur d'être aveuglé par la lumière du jour ou celle artificielle du plafonnier, mais très vite de réaliser qu'il n'y a pas une once de lumière dans la pièce. Je tourne ma tête de droite à gauche dans l'espoir de trouver une fenêtre qui pourrait me donner approximativement l'heur qu'il est.
Ladite fenêtre est du côté gauche de mon lit, les rideaux sont tirés pour ne laisser entrer aucune lumière dans ma chambre. J'enlève ma couverture pour que je puisse me lever quand je suis interrompue par un léger toc-toc à ma porte de chambre, elle s'ouvre à un infirmier avec ce que je suppose être mon dossier médical. Quand il relève les yeux du dossier, je peux voir une légère surprise passer dans ses yeux.
- Bonsoir, mademoiselle Smith. Je vois que vous êtes réveillée, c'est une très bonne nouvelle. J'étais venu prendre vos constantes et remettre une perfusion. Je m'appelle Christopher, je suis votre infirmier de nuit. Dis-moi, comment vous sentez vous ? Avez-vous la nausée, un mal de tête, le vison trouble ? me demande Christopher en sortent de sa blouse une petite lampe qu'il me demande de suivre avec mes yeux.
Je réponds à toutes les questions qu'il me pose, il rédige tout ce que je lui dis sur mon dossier, après s'être assuré que j'allais bien. Il me prévient qu'il tiendra au courant ma mère et monsieur Wilson de mon état. Il me dit que j'ai dormi trois jours et quatre nuits. Je lui demande s'il était possible de manger en sentant mon ventre criez famine. Il acquiesce puis sort de la chambre.
C'est peut-être au bout d'une vingtaine de minutes que l'on toc a ma porte pour m'apporter mon repas. Celui-ci contient que des choses légères, un verre d'eau, une soupe de légumes servie avec un petit morceau de pain, pour finir le repas un yaourt nature. Je mange tout en une rapidité hallucinante, la soupe était bonne quoique un peu fade. Je repousse ma table à manger au bout de mon lit pour pouvoir m'allonger confortablement, avec mon regard rivé sur le plafond.
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Incurable
RomanceJe pensais que rien ne pouvait détruire mon monde. J'ai toujours été une gentille fille, on m'avait dit petite que si j'étais bonne avec autrui le ciel me le rendrait. Il me la rendue cher journal, mais pas de la façon que je l'espérais. C'est la pr...