𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐎𝟕

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— U  L  T  I  M  E    S  O  U  H  A  I  T —

— U  L  T  I  M  E    S  O  U  H  A  I  T —

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井の中の蛙、大海を知らず

























— BONJOUR, QUE PUIS-JE faire pour vous ?

             Perchée derrière un large comptoir en mosaïque dans les tons bleus et rosés incrusté de coquillages, une vieille femme nous fixe derrière ses lunettes rectangulaires. Habillée d’une robe blanche simple couvrant son corps imposant, elle se fond dans la pièce.

             Celle-ci, composée de mille et un fragments de carrelages assemblés en mosaïques aux diverses teintes pastels, s’étend sur quelques mètres. A notre droite et notre gauche, des fauteuils moelleux sont visibles. Marquant un couloir jusqu’au comptoir de la standardiste devant laquelle nous nous trouvons, quelques colonnes se font voir.

             Il n’y a personne. Je n’en suis pas très surprise, le soleil commence à peine à se lever.

— Je viens vous voir parce qu’elle pue, lance Ace en posant une main large sur le sommet de mon crâne avant de frictionner celui-ci.

             Ma mâchoire se contracte. La vieille dame arque un sourcil avant de m’observer quelques instants.

— Et c’est parce qu’elle pue que vous l’avez enchainée ?

             Brutalement, nous tressaillons. Bien qu’il s’agisse d’une simple standardiste inoffensive, Ace a été limpide sur le fait que nul ne devait remarquer mon statut de prisonnière. Cependant cette femme ne semble pas vraiment avoir un œil de lynx et il ne lui a fallut qu’un seul instant pour comprendre cela.

             Mais le noiraud, riant bruyamment, met fin à la tension prenant place dans l’air avant que celle-ci ne nous étouffe.

— C’est une esclave. Je veux la laver avant de l’emmener chez moi. Je l’ai acheté ce matin à des pirates.

𝐔𝐋𝐓𝐈𝐌𝐄 𝐒𝐎𝐔𝐇𝐀𝐈𝐓 (ace x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant