Sauve moi, j'ai besoin de toi - La belle & le fou

Chapitre 23

Peau de Mihran

J'ai pas su la protéger, à cause de moi elle est cloué dans un lit d'hôpital, les docteurs ont dit qu'un peu plus et c'était finis, ils ont dû la placer dans un coma artificiel depuis 2 semaines, le temps que son état ce stabilise et que sa blessure cicatrise.
Pardonne moi Azra, croit moi quand tu sera réveillé tu m'auras pardonné, je vais te venger croit moi mon ange.

...: Mihran on l'a trouvé.

Je ne bouge pas de ma place, j'étais comme dans un autre monde, mes pensées été dirigé uniquement sur Azra c'est elle qui s'est prit le coût de couteau mais c'est moi qui saigne. J'ai du mal à contenir mes nerfs, je suis à deux doigts de faire une dinguerie.

...: Mihran tu vas lui faire? Tu veux qu'on prépare le matériel?

Je me retourne enfin vers Samir, dès qu'il voit mes yeux je vois de la peur dans les siennes.

Moi : ramène moi le couteau avec lequel il a planté Azra. Ce sera suffisant.

Il acquiesce avec la tête, et moi je me dirige vers la cave ou ce chien été attaché.
J'entre dans la pièce, il était attaché par ses poignets en haut du mur. Mes hommes l'avait déjà bien amoché, mais c'était rien du tout à côté de ce que je lui réserve.

Lorsqu'il me voit, il relève difficilement la tête et je peux lire de la peur et du regret dans ses yeux. Mais aucune pitié ne traverse mon esprit, non... pas une once de pitié. Il avait blessé la femme que j'aimais, il va goûter à l'enfer.

Lui : je...je suis désolé!! Ce n'était pas elle que je visais! Ça ne devait pas ce passer comme ça!!!

Moi : tu me visais donc à moi.

Lui : oui...

J'en voulais à Azra, elle s'avait que c'était moi qui était visé mais elle quand même pris le coût pour moi.

Je m'avance vers lui, et lui inflige d'énorme coût de point dans chaque coin sensible de son visage, je veux lui faire sentir la douleur que je ressent. Je veux qu'il sente ma haine. Je prend ses cheveux dans ma main et lui relève son visage bien amoché.

Lui : je suis désolée... je ne voulais pa...pas....c'était un ordre... dit il difficilement.

Moi : un ordre de qui?! Dis-je en serrant sa gorge.

Lui : si je vous le dit il va me tuer...

Moi : tu vas mourir de toute façon. Alors fait un bon geste avant de mourir et dit moi qui ta donner l'ordre d'attaquer!!

Je le vois déglutir difficilement et hésiter quelques secondes.

Lui : c'est...c'est Furkan...l'homme avec qui elle devait ce marier...

Je passe une main sur mon visage afin de calmer mes nerfs. Furkan... ce fils de lâche... rien qu'entendre son nom me répugne...je vais lui faire payer pour ce qu'il a fait..je te réserve une toute autre mort à toi Furkan cache toi bien.

Samir rentre dans la pièce avec le couteau avec lequel Azra avait été poignardé.
Je le pris dans mes mains et ma haine a encore plus grandis en moi, ma main a commencé à trembler en repensant à cette scène horrible où je la revois tomber avec du sang sur elle. La scène passe en boucle dans ma tête.

Sans plus attendre je plante le couteau exactement dans le même endroit ou II avait planté Azra. Il pousse un cris de douleur. Je retire le couteau et le replante, je continue à faire ça dans chaque partie de son corps. Je ne le tue pas directement je veux d'abord lui faire ressentir ma douleur, la douleur d'une personne qui aller perdre un être chère. Je continue à lui planter le couteau certain de mes hommes détourne la tête tellement la scène et violente.

Lui : par...pardon...ne...mo...

Sans lui laisser finir je lui tranche la gorge d'un seul coût. Même après ça je ne me sent pas soulagé, j'ai toujours cette énorme haine en moi qui demande qu'à sortir et que je vais laisser sortir lorsque je serais en face de Furkan.

Je laisse tomber le couteau parterre, et prendre la serviette à côté de moi afin d'essuyer mes mains du sang qui avait giclé.

Moi : Samir. Dis-je d'une voix extrêmement calme.

Lui : Oui?

Moi : Trouve ce Furkan.

Lui : tu l'auras devant toi dans même pas 24h. Me dit il confiant.

Et il sort de la pièce sans attendre afin d'accomplir sa mission.

Moi : Amir détache le et brûle le cadavre.

Lui : bien chef.

Je regarde une dernière fois le cadavre et remonte en haut. Je monte dans ma chambre et m'assoit sur mon lit les mains sur mon visage. 2 semaines...2 longues semaines sans elle, sans son sourire, son beau visage. Je me sent vide sans elle tellement vide, l'ancien Mihran a refait surface celui qui avait été programmé que pour tuer, celui qu'elle seule avait réussi à apaiser. Azra...mon ange...tu t'es mise en danger pour moi, c'est moi qui aurais du être dans cette chambre d'hôpital pas toi. Et je t'en veux terriblement pour ça.
Mais croit moi Azra je vais nous venger, je vais te venger. Et quand tu seras guéri sans plus attendre je ferais de toi ma femme. Je ne peux rester loin de toi plus longtemps, je ne supporte plus cette séparation.

Une fois sorti de mes pensées, j'enlève mes habilles tachés de sang, et rentre la douche. Je prend une douche bien brûlante pour essayer de détendre mes nerfs. Mais rien y fait toujours son image en tête. Je suis l'unique coupable.

Une fois finis, je me r'habille afin de lui rendre visite à l'hôpital même si la voir dans cet état me tue intérieurement je ne peux pas rester loin d'elle plus longtemps.

Une fois prêt, je descend donc vers le salon pour récupérer mes clés de voiture, mais je vois un de mes hommes rentrer en courant et venir vers moi complètement essoufflé.

Lui : pa..patron...elle s'est réveillé!

Je met quelques secondes le temps que l'information monte au cerveau et sans plus attendre je cours en vitesse vers ma voiture direction l'hôpital.
El hamdulilah ya rabbi tu m'a la rendu saine et sauve. Mon ange s'est réveillé je vais enfin pouvoir la prendre dans mes bras la serrer fort.

Les quelques minutes qui me sépare de l'hôpital me paraisse une éternité. Une fois arrivé je prend pas le temps de me garer correctement et laisse les clés dans la voiture parce que je sais qu'un de mes hommes va s'en charger.

Je cours direction sa chambre, plus que quelque seconde avant que je ne me retrouve devant sa porte. Il n'y avait plus que cette porte qui nous séparait. J'ouvre la porte doucement et d'un pas long j'entre la pièce.