Sauve moi, j'ai besoin de toi - La belle & le fou

Chapitre 22

Moi : regarde Mihran tu la trouve comment cette robe?

Il l'analyse quelques minutes dans les moindres recoins.

Lui : il t'ira à merveille tu seras parfaite avec, dedans la maison.

Moi : c'est bon c'est bon je la prend pas. Dis-je en rigolant.

Je faisais exprès de lui montrer des choses courtes pour le taquiner il me fusillait du regard à chaque fois c'était à mourir de rire.
Je pris quelques articles après la vérification de monsieur Mihran bien sûr.
Et je me dirigea côté homme suivis de Mihran.

Moi : Mihran fait moi le plaisir d'essayer cette chemise s'il te plaît. Lui dis je en lui tendant une chemise blanche magnifique.

Lui : Azra j'aime pas essayer dans les magasins. Me dit-il ronchon.

Moi : s'il te plaît mon coeur...lui dis-je en lui faisant les yeux doux.

Je le fis contracter la mâchoire, et expirer un coup. Il s'avança vers moi, me fit un bisous sur le front et pris la chemise direction la cabine d'essayage.
J'étais essayer fière de mon coup à vrai dire. J'en profita pour prendre d'autre articles pour lui faire essayer aussi.

Après les avoir tous essayer de force bien sur nous partons payer, j'allais sortir mon porte feuille mais Mihran me lança un regard qui me fit comprendre de le ranger au plus vite.

Il enlaça sa main dans la mienne et en sortit du magasin. Il me proposa de prendre une glace et d'aller nous installer dans un parc assez mignon et vu la température idéale c'était parfait.

Mihran : tu t'en met partout! Dit-il en rigolant et m'essuyant la bouche avec son pouce.

Moi : c'est pas ma faute ça coule! Dis-je en rigolant à mon tour.

Nous étions de rigolant lorsque je reçus à mes pieds un petit ballons roses. Je baisa mes yeux vers celui-ci et leva ensuite le regard sur une petite fille a peine âge de 4ans je suppose entrain d'attendre timidement que je lui rende le ballon.

Je tendis ma glace à Mihran qui me l'a saisit, et prit le ballon puis m'approcha de la petite fille. Je m'accroupis à sa auteur, Elle avait sa main sur sa bouche sûrement gêné, elle était tellement mignonne avec ses petites couettes sur chaque coins de sa tête, elle était à croquer.

Moi : tiens ma puce. Lui dis-je en lui tendant le ballon.

Elle : mer..merci madame! Me dit elle avec un sourire gêné.

Elle me fit un petit bisous sur la joue avant de repartir jouer avec ses autres amies. Je toucha ma joue en souriant, moi qui adorer les enfants inshaallah un jour j'en n'aurais d'aussi mignon...
Je retourne ensuite vers Mihran qui avait observé toute la scène avec un léger rictus sur les lèvres.

Mihran : tu a l'air d'aimer les enfants. Me dit il en me fixant.

Moi : comment ne pas les aimés ce sont des petits anges, la bénédiction d'Allah accordé aux parents. Dis-je en regardant vers eux avec un sourire.

Mihran : ne t'inquiète si tu aime tant que ça je t'en ferais autant que tu veux. Me dit-il d'un ton beaucoup trop sérieux a bon goût.

Je me mis à m'étouffer avec ma glace, une fois remis des mes émotions je lui met un coup de le bras en rigolant.

Moi : mais ta pas honte de dire ça comme ça. Lui dis-je offusqué.

Lui : pourquoi je devrais avoir honte tu seras ma femme et je serais ton mari rien de plus naturel que faire des enfants. Dit-il sereinement.

Moi : t'es fatigant. Dis-je en soupirant.

J'étais entrain de finir ma glace quand je me retourne vers Mihran qui était encore là entrain de me fixer.

Moi : qu'est-ce qu'il y'a? J'ai quelque chose sur le visage?

Lui : tu es magnifique Azra. Me dit il avec un regard instance un déchiffrable.

Moi : arrête Mihran. Dis-je complètement gêné en détournant la tête de l'autre côté.

Lui : Azra...me dit il en m'attrapant par le menton pour me forcer à le regarder.

Moi : Mihran? Dis-je en le regardant aussi dans les yeux.

Lui : tu es la plus belle chose qui m'est arrivé dans cette vie. Tu ma fait connaître le bonheur en si peux de temps. Je te jure par Allah que je rendrais heureuse chaque jours de ta vie, chaque heures, chaque minutes, chaque secondes. Je t'aime Azra.

Moi : je suis déjà heureuse avec toi Mihran, je t'aime de tout mon coeur qu'Allah m'en soit témoin. Dis-je en lui caressant la cicatrice qu il avait sur l'arcade.

Il me prit dans ses bras, et me serra contre son torse je pouvais entendre les battements de son cœur. J'étais tellement bien dans ses bras, je me sentais apaisé, il m'apaisé.

J'avais ma tête sur son épaule, lorsque j'ouvris les yeux, un homme étrange avec la main sur son blouson s'avança vers le parc où nous étions et je vis qu'il s'approcha de nous. Et je compris toute suite ce qu'il allait faire au vu de son attitude bizarre. Je me détache toute suite des bras de Mihran et me met dessuite devant Mihran qui ne compris pas ce que je faisais, mais je ne pouvais pas laisser faire ça.

Et j'avais raison l'homme sortis un couteau de sa veste, et le pointa direction de Mihran.

Moi : ARRÊTEZZ!!!

Et là tout ce passa très vite, je me mis devant Mihran et senti le couteau pénétrer dans mes côtes. J'ai eu inspiration de surprise lorsque le couteau rentra dans ma chaire, une douleur horrible monta dans mon corps, je posa la main sur la main de l'homme et le regarda dans les yeux j'ai vu dans ses yeux de la surprise et du regret, et celui-ci sortis le couteau d'un seul coup qu'il lâcha parterre avant de s'enfuir. Je mis ma main sur ma blessure et vit celle-ci remplis de sang ma tête commença à tourner et me senti partir, Mihran m'attrapa avant que je m'écroule parterre.
Je vis dans son regard de la surprise, de la haine de la tristesse et de la peur.

Je mis ma main remplis de sang sur son visage, et lui caressa pour lui faire comprendre de ne pas s'inquiéter.

Mihran : AZRA NE FERME PAS LES YEUX AŞKIM!!! PTN PQ TA FAIT ÇA!!! AZRAAA!!!! Dit il en appuyant sur ma blessure afin d'arrêté l'hémorragie.

Il me souleva dans ses bras et m'emmena dans sa voiture. Il posa en vitesse sur la banquette arrière.

Lui : Azram ma vie ne ferme pas les yeux, tu vas aller mieux tu vas voir!!! Dit il en conduisant en vitesse.

Mes paupières ce fit de plus en plus lourdes et ma respiration de plus en plus lente, je me sentais partir.

Moi : Mihran...dis-je d'un dernier souffle avant de fermer les paupières.

Mihran : AZRAAAA!!!!