𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 18 270𝔎𝔪/𝔥

5.2K 179 21
                                    

Melya

Je bâille les yeux mi-clos signe que je me suis réveillé, je tente d'ignorer ma pensé mais j'ai quand même une sorte d'impression d'avoir dormis une éternité.

Mon corps est lourd, de plus je sens une ceinture au niveau de mon ventre.

Une ceinture ?

Est ce que je dois paniquer ?

Et si j'étais morte ?

Non espèce d'idiote.

Difficilement j'ouvre les yeux, putain la lumière est trop forte ou c'est moi ? Le pire c'est que je ne me souviens même pas d'avoir fermé les yeux.

J'eus immédiatement un réflexe de les refermer, sincèrement zéro fonction au niveau de mon cerveau.

Est ce que j'ai bus ?

Non, enfin pas à mes souvenirs.

Toutefois il y a que quand je bois que je me sens ainsi.

J'essaye de bouger avant de cligner les yeux à mainte reprise pour m'adapter à la lumière.

À l'instant même j'aperçois la personne que je hais le plus dans ce bas monde, tranquille, pianotant son téléphone, à peine s'il sait que je me suis réveiller non mais qu'est ce qu'il fait là en plus avec sa grosse tête là.

Je décide de reluquer le li...

EEEH MERDE !

_PUTAIN DITE MOI QUE JE RÊVE !

C'est sorti tout seul, putain à quel moment suis-je dans un Jet privé moi ?

_Ta gueule Melya, il me l'a cracher tellement sèchement en plus en me dévisageant avec dégoût.

Quel imbécile.

_Hey ! Qu'est ce que je fous dans un bordel de jet ?

_Tu crois que tu t'adresses à ton grand père Melya ?

Non mais...l'audace qu'il a.

Mon grand père a quoi avoir avec ça, franchement je ne trouve ni normal de me retrouvée du jour au lendemain dans un jet et ni normal qu'il mêle mon grand père à ses mots.

J'examine chaque recoins de ce jet et vérifie bien si on a décollé, c'est bien le cas.

Mais comment ce s'est passé ?

Pourquoi je n'ai aucun souvenir du comment je me suis trouvé ici ?

_Comment j'ai débarqué ici ? Depuis quand sommes-nous dans ce jet ? pourquoi je ne me souviens de rien ? Où on va ?

_je t'ai drogué.

Est ce que vous voyez ma tête en ce moment ?

Mes sourcils sont haussés, mes yeux écarquillés, la bouche grande ouverte.

Ooh le connard !

𝐌𝐄𝐋𝐘𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant