𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 20 𝔇ℑ𝔑𝔈ℜ 𝔫°2

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Melya

(Los Angeles, Bel Air)

J'apprécie intérieurement la belle vue que m'offre Los angles, n'empêche c'est vraiment beau ici. Jamais je pensais me trouver dans un tel lieu.

Deux semaines que nous sommes ici, rien ne sait produit depuis ce soir. J'ai vite fait une conclusion qu'il est très occupé étant donnée qu'il rentre que les soirs tardivement.

Je le sais car monsieur ne sait pas être discret, il fait que du bruit lorsqu'il rentre. Malgré que ces deux semaines on été ennuyant la plus part du temps, je dois avouer qu'ils ont quand même été les plus apaisantes sans bien sûr en parler de mes cauchemars. Le positive dans tout ça c'est qu'ont ne se parle pas raison de plus d'être plus apaisé.

J'ai cru entendre qu'il possède une mafia de plus ici, en même temps c'est compréhensible, ceux pourquoi il a autant d'argent.

_Apprête toi on sort !

Je sursaute la main sur la poitrine, putain à peine si j'ai remarqué son entrée.

Mais merde je n'ai aucunement envie de sortir, je veux rester en paix jusqu'à ce qu'on rentre.

Il a le dont de m'énerver, qu'est ce qui le prend qu'est ce qu'il veut ce connard

_j'ai mal au pied, menti-je froidement

Il peut aller sans moi apprêt tout je n'allais pas m'échapper il le sait, je l'ai bien prouver durant ces deux semaines même si je savais qu'il y a des hommes armés je n'ai rien tenter tout simplement parce que je ne connais personne ici, je préfère vivement gardé ma technique pour l'Italie.

_Putain comment je n'en ai rien à foutre de toi et tes pieds, bouge toi je t'ai rien demandé et aussi porte une robe, tu iras avec Rayan et William.

Il l'a lancé en sortant et bien sure en prenant soin de claquer la porte.

Enfoiré !

Je détaille l'intérieur de l'armoire à la recherche de tenue, dans ces deux semaines il avait pris la peine de payer des vêtements non rectification c'est Rayan qui a fait le shopping et Easton lui c'est contenté de lui remettre l'argent.

Ouais Rayan me l'a dit.

《Et aussi porte une robe》

Ooh oui je vois des robes il y'en a des tas sauf que moi je ferai tout le contraire non seulement par ce que je le désir mais aussi parce que Je ne l'obéirai pas.

Il faut qu'il comprenne que le monde ne tourne pas autour de lui.

Mes doigts frôlent un ensemble de short et de sweat-heart que je choisi directe, pour terminer je saisi des chaussettes et des baskets blanches nike.

Peu importe où nous allons, le plus important est que je porte ce que je veux au point de prendre le risque de me faire casser la gueule devant des gens.







William

𝐌𝐄𝐋𝐘𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant