𝐌𝐄𝐋𝐘𝐀

𝑪𝒉𝒂𝒑𝒊𝒕𝒓𝒆 15 𝔖𝔢́𝔠𝔲𝔯𝔦𝔱𝔢́

Melya

L'eau sur mon visage me fait un bien de fou, j'agrippe une serviette pour me nettoyée la face avant de prendre la porte de cette salle de bain que j'y crois avoir passé une heure ou deux, j'en ai aucune idée pour dire vrai.

Je voulais juste un moment de quiétude, un moment où je pourrais mettre de l'ordre dans mon cerveau et bien j'ai fais le minimum. Dormir est la première chose dont j'ai envie.

Un sursaut et une grimace horrifiée me capture lorsque je distingue une silhouette sur le canapé de la chambre. Cette chambre fait proprement quatre pièces de mon ancienne maison, il est là avec un putain de verre à la main juste là !

Nos regards se croisent. Je ne nie pas dans les yeux à quel point je l'éxecre.

Son masque d'homme d'affaire et dangereux ne l'a pas quitté d'une miette.

Sûrement qu'il est venu me hurlé  dessus comme il sait si bien le faire.

Sachant que chaque soir je suis dans cette maison avec lui en dehors des hommes m'angoisse.

Tout ce qui c'était passé n'était que de sa faute.

Mon cœur frôle la mort quand sa voix retenti dans cette pièce sombre et calme.

_Assieds toi ! M'ordonne-t-il en montrant le lit de la tête.

Quelques secondes ont pu témoigner que j'étais encore dans les vagues de colère.

Perdu, mes pieds me mènent désormais face à lui.

Il sort une clope de sa poche, ça va je dérange ? il est tranquille le mec.

Quand bien même que la peur s'avouait au fond, une partie rebelle de moi à quoi qu'il en soit besoin de savoir jusqu'où il ira si je n'en fais qu'à ma tête.

Décidément la trouille fini toujours par dire son dernier mot.

Je m'adosse sur le dot du lit, non cette fois sans gesticuler.

Moi même je ne sais pas d'où me viens cette tout petite force.

_Tu n'aurais pas du te mettre en scène.

Sa voix est loin d'être doux, c'est plutôt sec. Il est sérieux il me fait asseoir juste pour ça !

Je crois que J'ai mal fais d'assommer sa meuf.

Non, vous ne pensez quand même pas que j'ai du ignorée ses regards.

Je suis très observatrice et ça m'est tout de suite passé sous les yeux.

_je suis vraiment désolé d'avoir mis ta copine K.O, fis-je sarcastiquement.

_Te fous pas de ma gueule !

_j'ai bien un désir de savoir jusqu'où tu iras si je te désobéi, enchainai-je.

_tu te rendra compte de ton erreur que dans ta tombe.