𝐶ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 42 𝔖𝔬𝔲𝔳𝔢𝔫𝔦𝔯

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Easton 
(UNITED STATES, LOS ANGELES)

Deux ans plus tard


Je bois mon verre d'une traite, Allez bois Easton c'est tout ce que tu sais faire...tu ne fais que boire, tué et...et penser à elle.

J'ai le regard posé sur les stip-teaseuses qui se dandinent sans pourtant parler des filles qui me masse presque de partout.

Et ça en devient désagréable, j'ai jamais apprécié ce geste même si c'est leurs boulot.

_Cassez vous tout de suite !

Choqué par mon tond, elles obéit sans contester.

Encore un verre d'une traite...j'ai essayé de l'oublier en venant dans ce club...mais aucune m'excite. Il y a que sa tête dans mon esprit encore et encore.
Le plus nuisible ce sont ses mots, ooh bordel sa voix me hante carrément.

Le verre s'est brisé face à la pression que j'y mettait, J'avais à peine remarquer que j'étais en rogne de cette façon.

La musique du club est beaucoup trop forte pour qu'on m'entend et c'est mieux ainsi.

Personne ne calmera ma colère à part elle.

Personne n'arrivera à retirer  ce poid lourd que je n'arrive pas à définir à part elle.

Mais prunelle est loin maintenant et c'est encore préférable qu'elle m'oublie et vis une vie plus saine, une vie sans meurtre sans fatigue physique, une vie banale qu'elle a tant rêvé et c'est tant battu pour ça.

J'ai laissé ce petit bout d'ange prendre son envole.

Mais est ce que son amour ferra en sorte de me pardonnez et de revenir ?

Peut être oui, peut être non.

_Reviens moi prunelle.

J'ai vite pris un autre verre en le buvant cul-sec. Je désire plus que tout la revoir, sentir son parfum, dormir à ses cotés, lui parler de tout et de rien.

《TU CROIS QUE C'EST FACILE DE RESTER TOUJOURS CALME SAVOIR QUE CHAQUE JOURS QUI PASSE JE RISQUE MA VIE OU JE VAIS RECEVOIR UN COUP QUI SAIT ? PEUT ÊTRE QU'ON ME BATTRA À MORT !》

Je faisais semblant de n'avoir rien à foutre de ce qu'elle disait, je savais qu'elle souffrait, qu'elle essayait tant tôt de le cacher, qu'elle voulait qu'ont l'écoute, je savais qu'elle n'aimait pas ce monde, cette violence alors le moindre que j'ai pu faire c'est de le lui  ouvrir la porte de la paix.
Je pensais juste à comment j'allais agir sans être égoïste cette fois par ce que oui je voulais bien qu'elle soit près de moi en ce moment.
Je voulais bien me lever chaque matin puis voir son parfait sourire, ses yeux qui brille de joie, son odeur qui me fait perdre la tête.

Dorénavant mon trésor ne subira rien, par ce que tout est fini...ils sont tous morts.

Melya...

Melya...si seulement je me l'étais pas interdis j'aurais tout fait pour être près de toi en ce moment même.

Je te surveille prunelle mais je n'ose pas demandé à mon hackeur où tu es, par peur que l'égoïsme prenne le dessus, par peur que je vienne encore te pourrir la vie, ma présence ne peut que te faire souffrir.

𝐌𝐄𝐋𝐘𝐀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant