𝐌𝐄𝐋𝐘𝐀

𝐶ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 54 ℑ𝔪𝔭𝔯𝔢𝔳𝔲

NDA : Ce Chapitre contient des passages sexuels qui peuvent heurter la sensibilité des jeunes lecteurs, alors âme sensible à s'abstenir.

Melya

Je vomis encore une fois. Putain j'ai certes demandée à m'amuser et je pense qu'on a dépassé le stade de l'amusement. Il m'a carrément envoyé faire un manège, je me demande encore ce qui l'ai passé par la tête.

J'avais bien sûr refusée son offre d'aller faire un manège mais il avait insisté en ajoutant que je devais lui faire confiance, sauf que maintenant je me sens étourdi.

Alors voilà les conséquences, la nausée.

N'empêche j'ai adoré.

Un petit sourire étire mes lèvres lorsque je saisi ma brosse à dent, rien qu'en me souvenant du comment j'ai hurlé devant tout ces gens me met un peu mal alaise mais cela me fait beaucoup rire.

À croire que Easton le plus grand mafieux, faire de l'attraction...c'est une première pour moi, j'aurais pas pu croire qu'il avait un côté si enfantin. En faite nous avons tout les deux agis comme des gosses ce soir.

Je suis moi même abasourdi de toute les merdes qu'on a pu accomplir.

À peine sortir de la douche que je me fais accueillir par des moqueries venant de lui. Depuis l'attraction, il ne fait que plaisanter sur mon état, puisque je me retenais de vomir pendant tout ce temps.
Reste à lui en coller une à cet idiot de sorte à ce qu'il revienne sur terre. Il se fou carrément de ma gueule alors que je ne me gêne pas de lui menacer ouvertement du regard.

Je veux lui faire avaler sa langue, bordel qu'il peut être chiant dès fois. Prise de rage et sans aucun contrôle je saisi un coussin et lui balance en pleine figure à plusieurs reprises tout en bondissant sur lui.

C'est un réel plaisir de se défouler, je ne contrôle pas mes gestes, après tout il mérite cette leçon et j'ai bien été gentille cette fois. Alors comme si cela ne suffisait pas je continuais à le frapper avec le coussin.

_Merde Melya ! gronde-t-il d'une voix qui se veut maîtrisable.

J'arrête mon geste lorsque je me rends compte dans la position dans laquelle je me trouve. Éberlué, mes yeux s'ouvrent naturellement en grand.

Moi, assise sur enfin...oh putain comment n'ai-je pas pu m'en rende compte plutôt ?!

_Je n..ne voulais..pas..c'ét...enfin ce n'était pa..oooh putain ! Bafouillai-je déjà stressé.

_Putain tu me fais encore perdre plus la tête lorsque tu te perds de cette façon.

Mon souffle se coupe une fois que ses mains remontent sensuellement sur ma hanche. Je souhaite me retiré seulement la solidité de rester me pousse à ne rien faire.

La seconde qui suit je me retrouve à être basculer sur le lit, son corps coriace se retrouve présentement au dessus du mien sans bien sûr y mettre tout son poid.

Putain il y a que moi qui peut faire ce genre d'erreur stupide à ne pas refaire, j'étais en putain de califourchon sur lui et désormais c'est encore plus pire.