Coup De Foudre ?

Chapitre 9

SLOANE

Mike : okay, si on nous voit il faut prendre un air triste.

? : Votre attention. Une assemblée est tenue en l'honneur de Will Byers au gymnase.

On arrive devant la porte du club et quand Mike essaye d'ouvrir la porte elle est fermée.

Mike : c'est fermé.

Lucas : quoi ?

Dustin se retourne vers Onze.

Dustin : dit tu crois que tu pourrais l'ouvrir avec tes pouvoirs ?

? : les garçons ? Sloane ?

On se retourne pour voir monsieur Clarke.

Monsieur Clarke : l'assemblée va commencer.

Mike : on est au courant. C'est juste qu'on est...

Lucas : vraiment trop triste.

Dustin : ouais absolument.

Moi : on aurait besoin d'un moment pour rester seuls.

Dustin : pour pleurer.

Monsieur Clarke : écoutez...je sais ce que vous traversez. Je sais que c'est très difficile. Mais soyons là pour Will. Et ensuite...dit-il en fouillant dans sa poche, le Heathkit est à vous pour la journée. Qu'en dites-vous ?

On a pas le temps de répondre qu'il regarde Onze.

Monsieur Clarke : et je ne crois pas qu'on se connais. Comment tu t'appelles ?

Onze : je m'appelle...

Moi : Eleanor...c'est notre cousine...

Dustin : germain.

Mike : elle est là pour l'enterrement de Will.

Monsieur Clarke : d'accord, bienvenue au collège d'Hawkins.

Onze : merci.

Monsieur Clarke : d'où est-ce que vous venez ?

Onze : pays du mal...

Dustin : de Suède !

Mike : on a beaucoup de famille là-bas.

Dustin : elle déteste son pays.

Lucas : le froid.

Dustin : en dessous de 0

Monsieur Clarke : on y va ?

Lucas : oui.

Puis on suit les garçons et Dustin ouvre des portes et tout le monde nous regarde.

Dustin : on se barre.

Il allait partir mais Lucas le retient et le pousse, puis on va s'asseoir. Et on écoute le discours du directeur, quand on entend Troy et James rigoler.

Onze : bête comme un manche.

Je regarde Onze qui me sourit légèrement. Le directeur fini enfin son discourt et on se lève tous. Je vois Troy et James et je serre mes poings.

Moi : hé ! Hé ! Hé Troy !

Ils s'arrêtent tous les deux avant de se retourner vers moi.

Moi : tu trouves ça drôle ?

Troy : ta dit quoi Wheeler ?

Moi : je vous ai vu vous marrer. Vous devez être sacrément débiles vous deux.

James : t'as pas écouté la psy ? Le deuil se manifeste de plusieurs façons.

Troy : et puis y'a pas vraiment besoin d'être triste ? Will est au pays enchanté. Il doit voler avec toute ces copines les fées. Il est au paradis des gays !

Ils s'en vont sauf que je marche jusqu'à lui et je le pousse par terre, ce qui fait qu'il tombe comme du n'importe quoi. Tout le monde rigole et Troy commence à s'énerver.

Troy : t'es morte Wheeler !

Il se relève surement pour venir me pousser, sauf qu'il ne bouge plus et il commence à se faire pipi dessus. Je me mets à rigoler comme tout le monde.

? : les gars, Troy s'est pissé dessus.

Je me retourne vers Onze et je la vois s'essuyer le nez.

Monsieur Higgins : hé je peux savoir ce qui se passe ici ?

Lucas : vite Sloane on y va !

Je suis les garçons et Onze et on part au club d'audiovisuel. Onze s'assoit et j'allume la radio alors qu'elle ferme les yeux.

Moi : elle va trouver Will.

Dustin : c'est dingue.

Lucas : calmos elle a juste fermé les yeux.

L'ampoule explose, ce qui nous fait peur.

Dustin : non d'un chien...

On commence à entendre du bruit dans la radio et on s'approche tous de la radio.

Dustin : c'est quoi ça ?

La radio prend feu et Lucas se dépêche de prendre l'extincteur pour éteindre le feu. Onze rouvre les yeux et je pose ma main sur son épaule.

Moi : Elfe tu peux bouger ?

Elle ne répond pas et on entend l'alarme incendie, Mike et Lucas l'aide a se lever et on se dépêche de sortir de l'école, pour rentrer à la maison.

...

On était en train de discuter de se qu'on a entendu dans la radio.

? : le monde à l'envers.

On tourne tous la tête vers Onze.

Lucas : mais comment on s'y rend.

Dustin : en traversant les ombres.

Lucas : dans la vraie vie, crétin.

Dustin : peut-être que nous on sait pas mais...elle oui.

Mike : vous savez comment faire, pour aller dans le monde à l'envers ?

Elle hôche la tête pour dire non.

Lucas : mon dieu !