Five x Reader (Tome 1)

Chap 8 : Mensonges

A la fin de ce superbe repas, auquel le silence avait été brisé par Alisson et Vanya. Moi j'étais toujours perdu dans mes pensées. Je pensais qu'à une chose. Trouver une mallette.

Luther : De toute façon, Cinq a une mallette donc rentrons chez nous non?

Alisson : Il faudra que je dise au revoir à Ray avant... c'est quand même mon mari

Vanya : Ne t'inquiète pas c'est pour retrouver Claire c'est tout ce qui compte.

J'étais extrêmement gênée. T/P me fuyait du regard elle était tout aussi gênée que moi. Je me leva donc en demandant à tout le monde de m'écouter attentivement. Je pris ma respiration.

Moi : On a cassé la mallette.

Je racla ma gorge et regarda T/P qui me fuyait toujours. Tout les visages se décomposèrent. J'étais tellement désolé. T/P se leva me fit un clin d'œil avait de s'élancer dans du blabla et finir par :

T/P : C'est pour ça qu'on a passé en revu les solutions, dès ce soir, je passerai un coup de téléphone à ma mère pour qu'elle est une discussion avec Cinq. Ils n'auront cas passé un marcher et il récupéra une mallette. Je l'ai vu dans une vision.

Elle mentait, mais c'était bien joué. J'affirma ce qu'elle venait de dire et plusieurs soupire de soulagement se furent entendre. Alisson partie dire au revoir à son mari. Vanya également et moi et T/P nous en allions, je ne sais où. On descendit les escaliers.

Pdv de T/P :

Le repas fut gay personne ne parlait et s'en était devenu gênant, les filles avaient brisées le silence. Cinq avait l'air perdu dans ses pensées, il était mignon et beau quand il était calme comme ça et pas arrogant et casse pied. Mais j'en oubliais presque le problème principal. LA MALLETTE. Nous avions réunis toute sa famille mais nous n'avions pas d'échappatoire..

Luther : De toute façon, Cinq a une mallette donc rentrons chez nous non?

Alisson : Il faudra que je dise au revoir à Ray avant...c'est quand même mon mari.

Vanya : Ne t'inquiète pas c'est pour retrouver Claire c'est tout ce qui compte.

J'étais dans une gêne indescriptible ainsi que Cinq qui était rouge de honte. Je le fuyais du regard je ne savais pas ce qu'il allait dire et je ne savais pas quoi dire. Après un court instant il se leva en demandant à tout le monde de l'écouter attentivement.

Cinq: On a cassé la mallette.

Quel con. Il racla sa gorge et me regarda, mais je le fuyais du regard. Tout le monde se décomposa. Je décida d'improviser pour sauver Cinq avant que Diego ne le tue, et me leva je fit un clin d'œil à Cinq afin de le rassurer et je partis dans du blabla auquel moi même je m'y perdais.

Moi : C'est pour ça qu'on a passé en revu les solutions, dès ce soir, je passerai un coup de téléphone à ma mère pour qu'elle est une discussion avec Cinq. Ils n'auront cas passé un marcher et il récupéra une mallette. Je l'ai vu dans une vision.

Je mentait tellement mal. Cinq affirma ce mensonge que je venais purement d'inventer et plusieurs soupire de soulagement se furent entendre. Alisson partie dire au revoir à son mari. Vanya également, Cinq et moi nous en allions en ville chercher une cabine pour que je téléphone à ma mere. On descendit les escaliers.

Cinq : T'es complètement folle??

Dit-il en chuchotant.

Moi : Non on va faire ce que j'ai dis t'as une meilleure idée ???

Il soupira. Malheureusement il devait faire ce qu'il savait le mieux faire. Sauver sa famille encore. Nous arrivâmes en ville, je composa le numéro de ma mère.

Moi : Allô? Maman? Oui c'est moi......Oui.....On pourrait se voir?......Oui oui je sais......Oui.....Non c'est Cinq pas moi......Non.......Ou?......Ok........Oui moi aussi........Salut.

Cinq : Alors ??? C'était long elle t'a dit quoi ?

Le pauvre il stressait. C'était drôle, je rigola sûrement de fatigue, nous n'avions pas beaucoup dormi ses derniers jours.

Moi : Elle a dit ok, rendez vous dans une heure dans la ruelle San Antonio mais..

Cinq : Bon allons-y.

Moi : Laisse moi finir...
Mais sans moi. Tu dois y aller seule je t'attendrais sagement chez moi ok?

Il était perplexe. Pas serein du tout. Ça se comprenait. On parlait de la directrice, d'après son vécu elle avait fait de lui un tueur. 

Moi : Promets-moi de faire attention.

Cinq : C'est promis.

Il m'embrassa sur le front et s'en alla.