Chapitre 14 : serait-ce une invitation ?

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OUR NEVER ENDING STORY
Fanfiction

CHAPITRE 14 : SERAIT-CE UNE INVITATION ?
Nancy Kinami // 5 décembre 2008

    17h47 •

Enfin la fin des partiels et le début des vacances ! Bon, je suis pas totalement en vacances puisque je dois passer au club, mais tout de même.
Je sortie de ma salle et partie directement vers mon club. J'entra et commença à ranger le matériel et vider les appareils. Je transféra toutes les photos sur l'ordi principal dans le dossier « à trier ».
Le seul problème avec les vacances, c'est que c'est à moi de ranger le club. Mais la tâche est relativement rapide, ce qui m'arrange grandement vu que je dois retrouver Rin dehors.

En parlant de ça, notre relation est plutôt stable. Je pensais qu'on allait... enfin, que j'allais galérer au début, mais non.
On se voit régulièrement, même très souvent, mais comparé à ce que je craignais, on est pas toujours cloîtrés ensemble. Rindo n'est pas pot de colle, et moi non plus, donc on garde un minimum de vie privée.
J'ai aussi rencontré sa mère. Nous pensions qu'il s'agissait d'un hasard, mais il s'avère que Ran a incité sa mère à aller faire les courses. Comme le skate parc est juste à côté du magasin, elle n'a pas mis longtemps à nous remarquer.
D'ailleurs, Rindo est son portrait craché physiquement. Par contre psychologiquement, Ran a beaucoup tenu d'elle.

Je passa un coup de balai au sol avant de fermer la porte à clé.

- Enfin. Soufflais je.

Je me dirigea vers la sortie du bahut, où Rindo m'attendait, adossé à sa moto. En me voyant, il sourit et rangea son portable dans sa poche.

- J'ai pas été trop longue ? Demandais je en montant derrière lui.

- Pas le moins du monde.

Il démarra et nous nous engageâmes sur la route.
Je ne prend plus le métro, maintenant c'est lui qui me ramène jusqu'à chez moi, pour mon plus grand bonheur. Adieu les pervers en surplus d'Hormones !
Mes mains autour de la taille de Rindo et ma tête collé à son épaule gauche, je profitais du trajets. J'adore ses moments, plus que tout. Premièrement nous sommes seuls, chose rare, et secondement ce genre de moments sont apaisants.
Rin stoppa le moteur devant une boulangerie.

- Assis toi là je vais chercher un truc. Me dit t'il en pointant un banc.

J'alla donc m'assoir et attendu qu'il sorte. Lorsqu'il revint, il portait une boîte en carton ainsi qu'une baguette de pain. Il s'assit à mes côté et ouvrit la boîte. A l'intérieur se trouvais deux parts de gâteaux, une de Paris Brest et une de bavarois aux fraises.

- Merci Rin. Dis je souriante en attrapant le Paris Brest.

Il souffla du nez d'amusement avant de me dire un simple « pas de quoi ».
Je dégusta donc mon gâteau goulûment. Une fois terminé, je m'essuya les mains avec la serviette.
Soudain un rire se fit entendre a côté de moi. Je tourna la tête et découvrit Rindo entrain de se foutre ouvertement de ma gueule.

- Y'a quoi de drôle ? Demandais je d'un air meurtrier.

- T'en a partout. Rigola t'il.

- Tu peux parler toi aussi t'en a partout. Soufflais je en ricanant.

J'essuya donc ma bouche et il fit de même.

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