Chapitre 15

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Tobias

Aïe... Je ne même pas vue ou est-ce que j'ai reçu la balle. Je sens Tris me secouer.

-S'il te plaît Tobias, réveille toi. J'ai besoin de toi... me dit-elle en pleurant.

Elle m'attrapa la main et la serra. Je lui la sera aussi.

-To... Tobias?

-Oui, je suis là en vie et réveiller ! lui dis-je en essayant de me lever. Elle finit aussi par m'aider.

-Aïe, j'ai super mal à ma cuisse

-C'est normal. Tu t'es fait tirer dessus et apparament dans la cuisse. me dit-elle ayant un peu pitié de moi.

-J'espère juste que ce n'est pas trop grave.

-Si tu t'es évanouis il y a des chances pour que se soit grave. me répondit-elle en fuyant mon regard.

-Eh regarde moi, si je me suis évanouis c'est parce que sa ma fait très mal. Je n'ai rien regarde.

Je voulais lui prouver que je vais bien. Que je ne vais pas l'abandonner. Qu'elle peut compter sur moi. Je décida alors de me lever mais la douleur fut si insuportable qu'elle m'obligea à me rasseoir.

-Mais qu'est-ce que tu fais ?? Tu vois pas que tu ne peux pas marcher ! me dit elle en colère.

-Désolé.

-Elise vient m'aider à le lever. Dit-elle

Elle se mit tout de suite en à côté de moi. Elles me prirent chacune sous un de mes bras. Et commençèrent à m'aider à marcher jusqu'au réfectoire. Mon visage était cryspé Tobias. Je ne voulais pas le faire paraître mais j'avais mal. Nous arrivâmes dans le réfectoire. C'est à ce moment précis que je remarqua que c'était une vraie boucherie. C'était peut être des traîtres mais c'était des humains ! Je vis dans un coin de la salle de corps d'enfants. Trois audacieux étaient entrain de soigner un gosse de 4 ans tout au plus.

-Je reviens tout de suite. Me dit Elise qui me coupa dans mes pensé.

-Tu m'as fait tellement peur Tobias. J'ai cru que tu étais mort.

-Je sais ce que tu as éprouvé. Je l'ai moi même éprouver pendant un long moment.

-Nous devons arrêter de froler la mort. Je tiens trop à toi pour que quoi que ce soit nous sépare.

-Moi aussi, je tiens à toi. Je l'embrassa tendrement sur ses lèvres. Des larmes coulèrent sur ses joues. Ce qui me fit reculer.

-Pourquoi pleures-tu ?

-C'est la préssion qui retombe. Me dit-elle avec un sourire en coin.

-Alors ça va. Dis-je en lui rendant aussi un sourire.

-Hum hum vous avez fini tout les deux ? Nous demanda Elise.

-Pardon, oui c'est bon tu peux le soigner. Dit Tris en s'éloignant de moi.

-Je ne suis pas médecin mais je sais faire les bases. Je sais aussi que ça va faire mal.

-Merci de me prévenir. Lui dis-je en lançant un rire nerveux.

Elle commenca par découper mon pantalon jusque là ça va. Je remarque que j'ai un trou sur ma cuisse mais pas derrière donc la balle n'est pas ressorti.

-Euh, la crème de Matthews ne va pas marcher.

-Et pourquoi ?

-La balle est toujours à l'intérieur. Il faut que je l'extrait de ta jambe pour ensuite appliquer la crème.

Divergente 4Où les histoires vivent. Découvrez maintenant