CHAPITRE 15

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CHAPITRE QUINZE
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𝘔𝘢𝘺𝘣𝘦 𝘪𝘵 𝘸𝘢𝘴 𝘧𝘢𝘵𝘦 𝘢𝘧𝘵𝘦𝘳 𝘢𝘭𝘭 ?


𝘔𝘢𝘺𝘣𝘦 𝘪𝘵 𝘸𝘢𝘴 𝘧𝘢𝘵𝘦 𝘢𝘧𝘵𝘦𝘳 𝘢𝘭𝘭 ?

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CHLOÉ

🔞

Angleterre, Londres

00:30

NOUS NOUS EMBRASSIONS COMME si le monde autour de nous n'existait plus. Tout ce que nous avions vécu jusqu'à cet instant se dissolvait dans un tourbillon de passion brute. Nos langues s'entremêlaient, dansant une valse diabolique, et je n'étais plus moi-même. Avec lui, je pouvais être vraiment celle que j'étais, sans masque, sans retenue. Une euphorie indescriptible envahissait mon esprit tandis que mon corps prenait le contrôle, mes sens exacerbés dictant une nouvelle voie que mon cœur acceptait avec empressement. Mon cerveau, quant à lui, était un mur infranchissable, incapable d'interférer. C'était une rédemption, une libération. Je m'accrochais à lui comme à une bouée de sauvetage dans une mer déchaînée. Il était mon Jack, mon ancre dans ce chaos délicieux. Sebastian se pencha pour humer mon parfum une nouvelle fois, un geste qui me fit frémir.

— Cette odeur... Elle est restée gravée dans mon esprit depuis la nuit où nous nous sommes rencontrés dans votre ancienne demeure, murmura-t-il, sa voix caressant ma peau comme un souffle d'hiver.

Nos corps réclamèrent plus, exigeant de nous faire oublier toute raison. Mais alors que l'intensité montait, nous nous séparâmes brusquement, essoufflés.

— J'arrête... dit-il, sa respiration saccadée.
— Non, ne t'arrête pas, le suppliai-je, le désir brûlant dans ma voix.
— Es-tu vraiment d'accord pour aller plus loin ? demanda-t-il, ses yeux sondant les miens avec une intensité presque douloureuse.
— Oui, répondis-je, chaque fibre de mon être hurlant pour qu'il continue.
— Bien.

Son approbation était à peine plus qu'un murmure, mais elle enflamma tout en moi. Nos sentiments et émotions se bousculaient, se confondaient, se transformant en un besoin primal. Il me retourna avec une habileté déconcertante et commença à embrasser mon cou, ses lèvres traçant une ligne de feu le long de ma peau. Ses doigts agiles démêlèrent rapidement le lacet de ma robe, la laissant glisser le long de mon corps en une vague soyeuse, jusqu'à ce que je me retrouve en sous-vêtements, vulnérable et désireuse. Il me fit face à nouveau, ses yeux flamboyant de ce désir non dissimulé, et nous nous embrassâmes encore une fois, plus profondément, plus désespérément. Tout en continuant de m'embrasser, il enleva son veston, puis sa cravate noire, et enfin sa chemise blanche. Sa peau apparut, lisse, presque irréelle, tandis qu'il continuait à parcourir mon visage de ses lèvres, descendant lentement vers mon cou.

MIDDLE OF THE NIGHT (SEBASTIAN MICHAELIS X OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant