Chapitre 6

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-Wei Ying. Je ne t'ai jamais détesté. C'est juste...que tu étais nouveau pour moi, je n'avais jamais rencontré quelqu'un comme toi, Wei Ying. Tu es unique. Je ne savais pas comment m'y prendre avec toi, je craignais que je fasse quelques choses qui fait que tu pourrais me détester.

Je le regardai, interloqué, je ne m'attendais pas à ça. Je m'écartai de ses bras et croisa son regard, il était tendre, comme si j'étais la prunelle de ses yeux. Il me regardait avec tellement d'amour. C'est alors que tous mes doutes s'envolèrent, lorsqu'il avait crié mon nom lors de mon « suicide » c'était bien parce que je comptai pour lui.

-Alors, ... je suis quoi pour toi ?

-Mon Wei Ying. Et il me reprit dans ses bras.

Je rougis comme une tomate, c'est alors que mon bébé, A-yuan, décida de s'en mêler.

-Papa ! Tu vas embrasser maman ?!

Je rougis encore plus à ses paroles déroutantes et encore plus quand Lan zhan répond positif. Il leva alors mon menton grâce à son pouce et son index et m'embrassa. J'entendis faiblement A-yuan crier de joie trop absorbée par ce baisé. On s'embrassa assez longtemps jusqu'à ce qu'A-Ling nous sépara avec ses petites mains.

-Arrête ! Tu vas absorber maman !

Oui, parce que je suis aussi sa maman, il préfère m'appeler maman qu'oncle. Aux paroles d'A-Ling, tout le monde rigola et Lan Zhan lâcha un sourire. Je pris A-Ling dans mes bras et me leva. Lan zhan en fit de même et on se dirigea dans la maison. Quand Lan Zhan entra, il fut étonné, c'est surement parce que pour la décoration, je me suis inspiré du recoin nuageux.

-ça ressemble à Gusu, dit-il.

-Oui, je me suis basé là-dessus pour faire la déco.

À la suite de cette phrase, il me prix dans ses bras.

-Je ne te pensais pas aussi câlin Lan zhan.

-Wei Ying, retourne avec moi à Gusu.

Je me détachai de lui et le regarda dans les yeux.

-Pourquoi veut tu que je rentre avec toi à Gusu !?

-Parce que Gusu c'est chez moi, et je veux les personnes que j'aime près de moi à la maison.

Tout le monde resta bouche bée à la suite de cette phrase, moi y compris.

Il n'est pas mort - Mo dao zu shi            En PauseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant