Chapitre 11

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On décide de sortir tous les quatre, on se met d'accord pour rester en groupe. Se séparé serait la pire chose à faire. J'avais A-Ling à ma main droite et Lan Zhan me tenait la gauche.

-Lan Zhan, ... Je suis désolé...

-Pourquoi Wei Ying ?

-C'est sûrement ma faute, à cause de ce que j'ai fait à Jinlintai. Il est venu se venger ou plutôt il a envoyé des assassins le faire. Ils vont détruire ton chez toi et ce sera ma faute...

-Ecoute Wei Ying, je savais ce que tu allais faire quand on s'est rendu à Jinlintai, j'étais d'accord. Je serais toujours d'accord que tu défendes quelqu'un d'innocent, surtout si c'est notre enfant.

On se sourit, puis on entendit un bruit. Tous sur nos gardes, on était prêt à combattre.

Ce fut Lan Xichen qui apparait avec les sourcils froncés.

-Toi aussi Grand frère... ?

-Le pressentiment...Vous l'avez tous senti ?

On hocha tous la tête, il fut étonné que même les enfants l'es sentis ou peut être terrifiés.

-La plupart des anciens dormes, j'ai vérifié.

-Un autre bruit se fit entendre et out le monde se tend. Je sentais A-Ling tremblé. Pitié faites qu'il ne vive pas de traumatisme à 7 ans.

Une ombre apparait, personne le connait d'après la confusion que je lis dans le regarde de chacun.

La silhouette sourit, je cache les yeux d'A-Ling et Lan zhan fait de même pour A-yuan.

Pour le coup, je ne sais pas si c'est un coup du clan Jin. De toute façon, Meng Yao est plus intelligent que ça que d'envoyer des assassins nous tuer alors qu'on s'est disputé la veille devant tout le monde, il doit certes préparer un plan mais son exécution ne sera pas pour tout de suite.

Quelqu'un d'autres est derrière ça. De plus, un pressentiment, on le sent que quand notre vie est en danger, ce qui veut dire que comme les anciens ne se sont pas réveillés, il n'y a que nous 5 en dangers de mort. Il va donc s'en prendre à mes enfants...

Je sers mes mains. Et je pense que les deux autres adultes avec moi on comprit la même chose.

Malheureusement, il faut agir, on ne va pas rester là une décennie.

La silhouette bouge, il n'y a aucun bruit. Ses pas son lent et on dirait que ses jambes on été cassés. On n'entend absolument rien quand elle marche. Et puis, tout d'un coup, elle s'écroule au sol.

Personne ne bouge de peur que se soit un piège. Lan zhan sort son quqin et on remarque grâce à la mélodie de Lan zhan ce que nous cache la silhouette. C'est en fête un fantôme.

Quelques minutes plus tard, Lan Xichen décide d'agir car le soleil commence à se lever se qui signifie que bientôt d'autres personnes sortiront de leur chambre.

Il n'est pas mort - Mo dao zu shi            En PauseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant