Chapitre 9

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-Dit moi, Patriarche des Yiling, ne serait ce pas notre héritier que tu tiens dans tes bras ? De plus, ne vient-il pas de t'appeler Maman ? Alors, tu tues ta sœur pour prendre son rôle auprès de son fils ?!

-Diabolique...

Des murmures et des chuchotement ce font entendre dans la salle et le chef de clan Jin sourit en coin en pensant que je ne le verrai pas.

-Chef de clan Jin, serait ce pas un sourire narquois que je vois là ? De plus vous savez très bien que j'ai été innocenté pour tout les crimes que VOUS avez essayez de me mettre dessus. Oh et le fait que A-Ling m'appelle Maman n'a rien a voir avec ma sœur, il m'appelle comme ça parce qu'il le veut. Et vous n'avez absolument rien à dire sur cela, je suis sur que vous ne savez même pas sa date d'anniversaire.

-Hum, en tout cas merci de nous l'avoir ramené vous pouvez partir désormais.

-Ah parce que vous croyez qu'il va restez avec vous. Comme je l'ai dit dans ma lettre, à l'âge de deux ans vous l'avez laissé plus de deux heures seules sans surveillance affamé et avec des bleus. Son lit n'était même pas adapté puisqu'il pouvait tombé.

A partir de là, je perds le contrôle trop énervé et je dis des choses dont le seul but est d'attaquer.

-Serait ce parce que votre père ne vous aimez pas, que dis-je vous détester que vous ne sachiez pas comment vous occupez d'un bébé. Parce que vous n'avez jamais eu d'exemple.

J'ai su que j'avais réussi, quand le faux sourire innocent du chef du clan disparait laissant place à une profonde haine se lisant dans ses yeux.

Lan zhan tenta de me calmé, c'est alors que je lui passa A-Ling dans ses bras. Il me regarda inquiet mais compatissant en même temps. Je lui fis un clin d'œil et il comprit. Je ne saurais jamais venu ici si je n'avais pas de plan en tête.

Que pensez vous que j'ai fait pendant ses 5 ans dans la maison ? J'ai enquêté bien sûr. Je sais tout.

Et aujourd'hui, c'est le meilleur moment de dévoiler tout ses secrets maintenant que tous les clans sont là.

-Chef de clan Jin, si je peux me permettre vous avez un sacre culot.

Des hoquètement se font entendre un peu partout dans la salle mais je continu tout de même.

-Vous m'accusez de voler délibérément la place de ma sœur dans son rôle de mère et même de la tuer pour ça. Mais quand n'est-il de vous ? Vous, vous avez épousez votre sœur.

A ce moment-là, la haine de tout à l'heure se fait remplacer par la peur dans ses yeux.

-Serait-ce aussi pour cela que vous avez assassiner votre propre enfant, celui que votre femme, que votre sœur chérissait temps. Ce n'était qu'un bébé chef de clan Jin, de quoi aviez-vous peur ?

La salle était silencieuse, plus personne ne respirait.

Il n'est pas mort - Mo dao zu shi            En PauseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant