Bestiaire - EN RÉÉCRITURE-

Démons

Medius homo (Sine humanitate.)

Dans de très nombreuses cultures, des êtres surnaturels, bienfaisants ou malfaisants, doués de raison, émanant de lieux ou de personnes sont supposés influencer les esprits des humains ou les lieux qu'ils traversent. Ils sont appelés démons dans la littérature chrétienne, ou entre autres, Souras ou Dévas, Asouras, Daityas ou Dânavas chez les Hindous, Izeds ou Amschaspands chez les suiveurs du culte de Zoroastre, Daimon ou Daemon chez les Grecs, Lares et Larves dans la religion romaine, Yasha dans la culture japonaise et Ibliss ou Shaytan dans les civilisations et cultures Islamiques. C'est d'après la philosophe fondatrice de la société théosophique Héléna Blavatsky, il y a eu au fil des  millénaires des inversion entre certains dieux et démons. L'axiome cabalistique "Demon est deus inversus" (le diable est dieu sens dessus dessous) peut nous mettre une puce à l'oreille par ce que l'on voit dans un démon. 

Un démon est une créature qui, à l'inverse d'un dieu ou des anges, ne s'occupe que de ses affaires personnelles et ne fait que des problèmes. Dépendamment des religions où ont les trouvent, ils ont plusieurs types et capacité qui diffèrent les uns des autres. Aussi, ils peuvent ou ne peuvent se spécialisé dans ce que d'autre esprits pourrait être capable de faire, par exemple, un démon peut causé la mort, tout comme un poltergeist (voir chapitre sur les poltergeists) mais à son contraire, le fera d'une manière qui lui est beaucoup plus définie.  

D'abord conçus comme les exécuteurs des châtiments décrétés par les dieux, qui se manifestent souvent par des atteintes physiques, les démons deviennent au 1er millénaire des entités maléfiques pratiquement autonomes émanant du monde infernal où ils cherchent à entraîner leurs victimes.

La "possession démoniaque" entraîne des maux physiques et moraux qui excluent de la société humaine ceux qui en sont atteints. Les démons touchent leur victime par contact ou par une véritable "saisie" et sont souvent évoqués sous la forme d'un souffle ; ils sont invisibles mais parfois entourés d'un halo. Ils peuvent cependant prendre possession d'un corps ou d'une image et donner l'illusion d'avoir un corps. Généralement, ils ne viennent que s'ils sont appeler, et ne quitter que lorsque leur travail et accomplit et qu'il on reçut un paiement qui leur convenait.  Tous les démons voient leur pouvoir néfastes particulièrement renforcés dans les lieux et les moments les moins bien contrôlés par l'homme : désert, ruines, endroits obscurs en général, nuit.

On leur donne en générale le pouvoir des problème de sommeil, des maux quelques qu'ils soient et de maladies, des problèmes que l'on rencontre et des malheurs qui se passent dans la vie, mais en réalité, ils passent beaucoup plus de temps à répondre à nos prières qu'à faire des mauvais tours de leur pleins gré. Pas qu'il n'y en ait pas qu'ils ne le fassent pas. Mais ils sont majoritaire à attendre nos commandes. Ils ont beaucoup plus à recevoir s'ils sont appeler que s'il s'en prennent à nous sans récompenses par la suite. 

Pour Homère, le démon se rapporte à la puissance et à la personne du Dieu. La notion de démon apparaît nettement dans les œuvres d'. Dans Les Perses, il est assimilé à « l'obscur et redoutable fourrier de la némésis divine ». Cependant, Eschyle étaye la notion du démon à travers L'Orestie. Eschyle attribue deux caractéristiques très différentes, voire contradictoires, aux démons au cours de ce texte.