Chapitre 308. Ishakan prend possession de son esprit (4)

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Des larmes ont coulé de ses yeux devant l'intensité du plaisir. La salive coulait de sa bouche, mais elle ne pouvait pas la fermer, incapable de contenir ses cris. Ishakan suçait ses lèvres.

"Ahhh...Ishakan !"

Leah était si bouleversée qu'elle ne pouvait même pas parler correctement. Encore et encore, elle le suppliait de ralentir, mais Ishakan ne voulait pas s'arrêter. Il la tourmenta jusqu'à ce qu'elle gémisse comme un animal sauvage, toute sa honte oubliée.

"Oh, j'a- j'adore ça... !"

Ishakan l'embrassa à ces mots, tirant doucement ses seins avec ses doigts. Même s'il ne la pénétrait pas avec force, c'était toujours aussi bon, ses caresses régulières lui faisaient perdre la tête.

Elle sentit sa virilité palpiter en elle, et Leah se serra contre lui, serrant ses parois internes pour l'encourager. Elle sentit son corps entier se raidir derrière elle, et ses dents s'enfoncèrent dans sa nuque.

Cette légère douleur n'a fait qu'accroître son plaisir. Leah tremblait juste à la limite, et son derrière se tortillait contre lui involontairement. Ses bras puissants l'entouraient, et Ishakan gémissait à son oreille.

"Leah..."

En elle, une chaleur poisseuse a soudainement éclaté, et Leah a crié son nom.

"Ahhh...ahhh, Isha !"

Son corps s'est mis à trembler alors qu'elle se tint en silence..

"......"

Se souvenant de ce moment, Leah a couvert sa bouche avec sa main. Après cette rencontre, elle n'avait pas pu se résoudre à s'approcher à nouveau du miroir pendant un certain temps. Chaque fois qu'elle regardait ce miroir, elle se rappelait cette vision d'elle-même et le regard d'Ishakan. Cela la faisait frissonner.

Le souvenir a également provoqué un picotement dans son ventre, et Leah a soupiré. Peut-être avait-elle aussi du sang de bête en elle. C'était la seule explication pour laquelle elle pensait si souvent au sexe.

Se promenant brièvement dans ses chambres, Leah se glissa par la porte vitrée qui s'ouvrait sur le balcon, pour se rafraîchir sans sortir réellement pour une promenade à une heure si tardive.

Mais même cela ne l'a pas distraite. Cela ne faisait que lui rappeler les visites d'Ishakan au milieu de la nuit. Le bruit des cailloux jetés contre la porte vitrée, l'homme qui entrait dans sa chambre comme si elle lui appartenait. L'étrange intrus qui avait franchi toutes les frontières et avait fini par s'emparer de son cœur.

Elle ne pouvait s'empêcher de penser à lui. Son absence était insupportable, comme un vent glacial soufflant dans son cœur.

Sa main se pressait contre sa poitrine tandis que Leah se dirigeait vers l'armoire et prenait une chemise à l'intérieur. C'était une de celles d'Ishakan.

Leah l'a serré très fort, puis s'est enfoncée dans l'armoire, sortant d'autres vêtements, avide de son odeur. Les empilant sur le lit, elle s'allongea parmi eux, respirant la légère odeur de tabac, l'odeur distinctive du corps d'Ishakan. L'odeur a fait se contracter le bas de son corps. Leah a frotté son visage contre ses vêtements.

Ishakan lui avait appris à se masturber, mais elle ne le faisait jamais seule. Pas seulement parce qu'elle était gênée, mais parce qu'elle ne ressentait même pas l'envie sans lui.

Comme elle préférait réprimer le désir sexuel qu'Ishakan avait travaillé si dur à lui inculquer, Leah n'avait plus d'autre choix que de l'attendre, et d'espérer qu'il rentre le plus vite possible. Elle a fermé ses yeux.

"Ishakan..." Elle a soupiré avec nostalgie.

Et puis elle s'est figée. Elle avait la sensation d'avoir des yeux sur elle, qui la regardaient de quelque part. Sa chambre était l'un des endroits les plus restreints du palais. Même Mura ne pouvait pas y entrer imprudemment après que Leah se soit couchée.

La chair de poule lui piquait la peau. Rapidement, Leah se redressa, regarda autour d'elle et reprit son souffle. Des yeux dorés brillaient dans l'obscurité. Il l'observait comme s'il la dégustait avec ses yeux.

Elle a laissé échapper le souffle qu'elle avait retenu.

"Oh..." Elle murmura, alors que son cœur commençait à s'accélérer.

"Je me demandais ce que ma femme faisait pendant que j'étais sorti." Ishakan a souri. "Je n'aurais jamais imaginé un tel accueil."

Mariage Prédateur (+18) Partie 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant