"On verra bien qui de nous deux trouvera la faiblesse de l'autre en premier "
Que s'est-il passé les jours qui ont suivi l'arrestation du chef du plus grand gang criminel du Japon ? Et pourquoi a-t-il voulu mettre fin à ses jours ?
Léonor Mahuru âgé...
Saluttt ! Avant de commencer je tenais juste à m'excuser de ne pas avoir posté pendant quelques mois. J'ai plus le temps mais surtout plus la motivation alors là je profite du peu de motivation qui revient pour continuer cette histoire en espérant qu'elle vous plaît.
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°Survey Bonten° |06| 'childhood'
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Musique recommandé ✓ : Fire on fire - Sam Smith
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Sous le bruit assourdissant que venait de faire la porte d'entrée, Je me réveille en sursaut.
Une intrusion, est la première chose à laquelle je pense.
Mon premier réflexe est de protéger mon petit frère. Alors, après quelques instants d'hésitation sous l'effet de la panique, je décide d'aller dans la chambre de mon frère.
Mes mains tremblent.
Lorsque je passe le seuil de ma porte j'entends un coup de feu.
Je me fige.
Non, non, non.
Tous, mais pas ça.
J'enclenche la porte de la chambre de mon frère mais celle-ci est bloquée. Quelqu'un de l'autre côté en empêche l'accès. Ce n'est pas Elio, il n'a pas assez de force. Il y a un inconnu.
La panique monte en flèche et tous mes sens s'activent. Je veux entendre le moindre bruit, le moindre son émanant de l'autre côté de cette porte que je ne peux pas franchir.
— LAISSEZ-MOI ENTRER ! Je hurle en sentant la panique prendre le dessus sur la raison.
Craignant le pire, j'essaye d'enfoncer la porte avec ma seule force mais sans succès.
Pendant ces secondes qui paraissent durer une éternité j'entends une discussion de l'autre côté du mur mais malheureusement pour moi, rien indiquant que mon frère est sain et sauf.
Combien sont-ils ?
Elio va bien ?
— Ignore-la pour l'instant, on s'occupera d'elle après. Murmure l'un des ravisseurs.
— C'est qu'elle commence à me les briser, cette mioche. Réplique un autre, sur la même intonation.
Le poing avec lequel j'ai frappé violemment la porte me fait affreusement mal mais cette douleur n'est rien comparé à ce que je ressentirai si je le perdais, lui.
Je les supplie mais rien n'y fait : Ils m'ignorent.
— VOUS M'ENTENDEZ ? LAISSEZ MON PETIT FRÈRE TRANQUILLE !
