"On verra bien qui de nous deux trouvera la faiblesse de l'autre en premier "
Que s'est-il passé les jours qui ont suivi l'arrestation du chef du plus grand gang criminel du Japon ? Et pourquoi a-t-il voulu mettre fin à ses jours ?
Léonor Mahuru âgé...
Après l'épisode de Tokyo revengers je suis motivée à poster!
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Survey Bonten |08| 'the calendar'
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— Et voilà, parfait ! Je m'exclame à voix haute.
Je suis fière de mon idée.
Après avoir fini notre intervention sur le lieu de la nouvelle attaque, je suis rentrée chez moi en laissant Yuri et Naoto.
Ces deux là avaient beaucoup insisté pour rester près de moi mais j'avais refusé.
Ils semblent s'inquiéter pour moi, je ne peux pas leur en vouloir.
Après tous, je suis prise pour cible par le Bonten ; La plus grande organisation criminelle du Japon.
Alors c'est normal que mes deux collègues s'inquiètent pour moi – je suppose.
Et ils ont peut-être raison de le faire car – j'essaye de ne pas le montrer – mais depuis la dernière intervention d'urgence je ressens une angoisse en permanence. Car le danger n'est jamais loin.
Le moindre bruit pourrait être une détonation.
La moindre odeur suspecte, un gaz mortel.
La moindre silhouette, une intrusion.
Je déteste vivre avec cette peur chaques minutes et chaques secondes. J'ai l'impression d'étouffer. Le psychopathe qui a osé écrire mon prénom sur ce mur va le payer très cher.
Je ne me sens plus en sécurité nul part – que ce soit dans la rue ou dans mon appartement.
Mais en tant que responsable de cette affaire je ne dois pas parler de mes craintes à mes collègues. Ils n'ont pas besoin d'être inquiets inutilement.
Donc pour remédier à ça sans l'aide de personne j'ai mis en place un petit système de sécurité le temps de trouver quelque chose de plus fiable.
J'ai arraché un petit bout de papier pour le coincer dans un coin de ma porte d'entrée du côté extérieur à mon appartement.
Je me sentirai déjà plus légère lorsque je rentrerai chez moi.
— Voilà ! maintenant à chaque fois que je sortirai de chez moi, je le coincerai dans ma porte d'entrée quand je la refermerai à clé.
Si un jour, je rentre chez moi et que je retrouve ce bout de papier au sol je saurais qu'il y a une intrusion.
— Je devrai partir me coucher maintenant. Je me dis en lisant l'heure qu'affiche mon horloge quand je retourne dans mon salon.
