[photos] Encore des nouvelles

36 7 31
                                    

[22/08/2022]

En vacances depuis dix jours. Mal de crâne (entre autres) perpétuel, angoisse quotidienne, et fatigue intense. C'est pas bien de ne pas assez dormir, de se poser trop de questions, et de les noyer dans l'alcool. Vient donc une impossibilité à produire des chapitres de roman qui passent mon crash-test personnel.

Je sais pertinemment que même improvisés, mes textes ne sont pas tout pourris. Mais... J'ai quand même du mal à accepter de descendre en dessous d'un certain niveau. Je n'ai pas assez bu pour tolérer ça.

Vendredi : balade de sept kilomètres dans les environs. Il faudrait que je sorte plus souvent. Ça m'éviterait d'avoir mal aux cuisses après aussi peu de marche. J'ai la chance d'habiter dans un endroit agréable, plutôt commode. Mais certains jours, qui arrivent souvent, mon angoisse sociale est plus forte que ma volonté d'entretenir ma santé ou de profiter des beautés de la vie.

Ces paysages ne sont-ils pas magnifiques ?

Encore quelques jours de procrastination et ça devrait aller mieux

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Encore quelques jours de procrastination et ça devrait aller mieux. Il est bien entendu que la majorité de mes congés et week-ends se passent à (essayer de) dormir, à fixer un écran, ou fixer le mur. Depuis le temps, je l'ai accepté comme mon mode de fonctionnement. Mais ça reste déprimant.

Donc : je n'ai rien écrit de publiable en dix jours. J'ai seulement prévu d'écrire deux nouvelles (CITY et Comme chien et chat) et le premier jet d'un roman (le tome 2 de Conte de fait) en six ou sept semaines, hein. Puis j'ai le roman à corriger pour éventuelle impression en février. Un autre roman (le tome 1 de la même saga) à corriger aussi, et pour lequel je veux produire des textes inédits pour cette auto-édition en février. Si ça se fait.

J'aime de plus en plus l'idée d'auto-publication avec impression à la demande. Zéro stock de livres à gérer. Je garde tous mes droits. Aucune obligation de faire de la promo. Si on souhaite vendre, bien entendu qu'il faut faire de la promo, démarcher le lectorat potentiel, organiser des séances de rencontre publique. Moi, ça me barbe. Je gagne plus en une journée à rester sur ma chaise de bureau que la plupart des auteurs auto-édités qui triment pendant un mois avec la gestion des ventes de leur livre.

Si une version papier de mes livres vous intéresse, je vous tiendrai informés de l'avancée des travaux et des étapes du processus d'impression.

Pour le moment, afin de reposer mon cerveau, je procrastine en rassemblant les centaines de notes disséminées depuis deux ans sur mon univers utopien. Je vous avais déjà dit que j'étais bordélique ? On dirait pas, hein, vu mon perfectionnisme. En vérité, je suis très, très inefficace. Sauf quand j'ai des délais incompressibles. Avoir le dos au mur me permet de me lâcher un peu, d'accepter le fait que je ne pourrai pas tout faire tout bien. Et donc de produire.

En l'absence d'un système de classement efficace, j'ai admis que je perdais trop de temps à aller vérifier des notes étalées sur cinq docs Word différents, ainsi que dans certains des chapitres de mes romans, à la recherche de certains détails techniques sur les dates, les concepts, les personnages, les symboles, etc.

Chat-pitre 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant