ÉLIZABETH

Chapitre 4 - Acceptation de l'aide

POINT DE VUE DE LIZ :

J'étais adossée contre le capot de la voiture devant les ruines de ma baraque.

Je vais la tuer.

Elle n'avait pas fermée le portail.

Qu'est ce qui s'est passé dans ta tête putain Mia ?

De ce fait, les personnes n'avaient absolument eu aucune difficultés à entrer.

Cela pouvait être n'importe qui.

Des personnes de la mafia.

Mais également des gens lambdas.

Parce que tout le monde peut cambrioler une baraque.

Donc là, je n'ai plus rien.

Je vais les tuer. Les deux.

Je me massais les tempes.

Il fallait que je trouve un logement.

Heureusement que mon père avait toujours fait des photocopies de chacun de ses dossiers à Émile.

Mais j'avais perdu la maison.

La maison où j'avais vécue avec mes parents.

Ressaisis-toi Liz merde !

Je retournais dans la maison, en claquant la porte derrière moi.

Mia et Aaron étaient en train de discuter avec Ayden et Lyam.

- Je suis désolée ...

Je l'a fusillais du regard.

J'en veux pas de tes excuses, je veux ma baraque !

- Ce qu'on peut faire, c'est vous héberger, expliqua Ayden.

- Non.

Je m'asseyais sur les marches.

J'étais au bout du roulot.

- Liz ... commença Aaron.

Je levais la main pour lui faire signe de se taire.

- Je ne vois pas de quoi tu te mêles, puisque tu as toujours ta baraque en parfait état.

Il déglutit.

On ferme bien sa gueule là.

- Écoute, princesse j'ai beaucoup de respect pour toi, mais tu ne vas pas me casser les couilles longtemps.

- Y'a pas que les couilles que je vais te casser si tu continues à m'appeler princesse.

- Princesse ne se laisse pas marcher dessus, s'amusa t-il.

- Jamais, renchérit Aaron.

Je me levais :

- C'est vrai, tu as raison Aaron donc étant donné que ma baraque a brûlée par ta faute, je vais te tuer sur le champ.

Je sortis mon flingue, et le pointait sur lui.

Il leva les mains en signe d'innocence.

Innocence mon cul !

- Ne me pousse pas à bout Aaron parce que je te jure que je n'hésiterai pas et ta femme sera la suivante.

Je rangeais mon flingue.

Mon téléphone sonna : Émile.

- Émile ?

- Oui, Liz je voulais savoir, tu veux que je te transferts les dossiers de ton père ?