Chapitre 13 - Parfum et Provocation

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POINT DE VUE DE LIZ :

Je descendais au salon, après m'être douchée et mise en pyjama.

J'avais enfiler un short et un débardeur en soie bleu clair.

Je m'assis sur le canapé et regardait la télé.

Ayden était à la cuisine, je ne sais pas ce qu'il y faisait d'ailleurs.

Et franchement, je m'en branle un peu.

Il t'a aidé au restaurant.

Même ma conscience n'est pas en accord avec elle-même.

Ayden posa une assiette et une paire de couverts devant moi.

Je ne l'ai même pas vu arrivé putain !

Je regardais l'assiette.

De la salade, des tomates, du thon, du mais, des olives.

Que des trucs légers pour que ça passe mieux.

- Mange un peu, me lança t-il.

Il s'assit sur un fauteuil à ma droite.

Je pris les couverts et piquais une tomate avant de l'apporter jusqu'à mes lèvres.

Je lui demandais :

- Au bout de combien de temps on peut se faire tatouer sur une cicatrice ?

Il me regarda longuement avant de répondre :

- Ça dépend de la cicatrisation de ta blessure.

Je mangeais lentement.

Il ne me lâcha pas du regard :

- Tu veux la recouvrir ?

Ma cicatrice.

Je haussais les épaules.

- J'y pense.

Il hocha la tête.

Je lui demandais, en souriant :

- Alors comme ça, je ne peux pas aller dîner avec Alex cette semaine ?

Il me regarda en esquissant un petit sourire :

- Tu as envie d'y aller ?

- Je t'ai posé une question Smith.

Il souffla :

- Je ne pense pas que tu veuilles avoir une relation actuellement Élizabeth.

Il marque un point le connard.

- Si tu veux recouvrir ta cicatrice, je peux demander à mon ami de te le faire. C'est lui qui m'a fait les miens.

Ayden avait de très beaux tatouages.

Vraiment beaux.

- Je pense qu'avant de recouvrir ma cicatrice, il faut pouvoir toucher la zone où elle se trouve.

- Vrai. Sinon il ne pourra pas te tatouer.

Je poussais mon assiette, je n'en voulais plus.

- Lyam et Alex ne vont pas tarder à arriver, dit le brun.

Je ne répondis rien.

Il me regarda et retira son pull, ce qui laissait apparaître une fin en bande de sa peau lorsque son t-shirt se souleva.

Il me tendit son pull :

- Juste le temps qu'Alex soit là s'il te plaît.

Je fronçais les sourcils.

ÉLIZABETHOù les histoires vivent. Découvrez maintenant